commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, septembre 25, 2016

le manteau

embrouillamini, qui n'est celui des cheveux lavés ce matin
qui est le mélange de ma rage d'avoir perdu une dent de ma très onéreuse bouche de quelques mois, et de mon hésitation à encombrer internet avec quelques lignes sur Paumée, à seule fin de déranger quelques gentils visiteurs…
Alors, juste, suis allée en fin de journée à l'opéra pour le second spectacle venu de Saint Pebersbourg (il y avait aussi des marionettes au Chien qui fule et il y aura un spectacle de grand ballet classique auquel n'irai pas).
Il s'agissait cette fois d'un ballet le manteau proposé par la Compagnie Kanon Dance

Je reprends la présentation qu'en donne le site de l'opéra (rien trouvé d'autre concernant la compagnie) ainsi que la photo qui l'accompagne
Ce spectacle est dédié à Marcel Marceau pour son 90ème anniversaire, en hommage au mimodrame Le Manteau, tiré de la nouvelle éponyme de Gogol, l’histoire d’un petit fonctionnaire, Akaki
Akakievitch Bachmatchkine, souvent montée dans le théâtre russe.
La danse s’empare cette fois-ci du texte de Gogol, dans une forme de narration novatrice. Les réalisateurs du spectacle ont introduit des questionnements sur la société moderne tout en conservant les thèmes chers à Gogol : la tragédie du « petit homme », l’inhumanité du mécanisme bureaucratique, la discrimination, le rapport à la religion ainsi que les questions sur l’ égalité homme-femme.
Une danse qui se voulait peu gracieuse pour être mime, un mime qui voulant être danse perdait de son intelligibilité mais un ensemble plutôt réussi, deux clowns, des crachats, des coups de pied au cul, des plaisanteries un tantinet plates, un peu de théâtre parlé pour que l'histoire du manteau soit discernable, des moments de grâce, du hip hop, un chanteur … j'étais, je crois, plus convaincue que par la série de courtes pièces
et le sourire d'un comique involontaire, l'équipe de quatre personnes dans la cabine des lumières n'avaient pas complètement coupé leur micro.
Et puis retour dans une nuit tiède

6 commentaires:

Dominique Hasselmann a dit…

Le manteau de la nuit peut réconforter...

Brigetoun a dit…

votre passage me réconforte un peu

chri a dit…

Passer ici n'est jamais dérangeant...

jeandler a dit…

Un passage plutôt apaisant.

Brigetoun a dit…

tant mieux

Anonyme a dit…

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