avec des fleurs
rencontrées - grâces soient rendues aux fleuristes de la ville - pour
sourire à ma journée dans le bleu
sur mon chemin matin,
quand suis allée acheter un successeur au fer à repasser que
j'avais mis hors d'état samedi matin - juste ce qu'il fallait pour
échapper au programme fixé pendant ce week-end (restent des housses
de vêtures anciennes à trier et défriper)...
sur mon chemin, dans
l'après-midi vers petit toubib pour renouveler ordonnance et éviter
ces sacrés petites misères qui m'enquiquinent ces temps-ci
et pour vous remercier,
comme peuvent, d'être venus perdre votre temps ici, des fleurs
encore, gentillettes et modestes...
Petit toubib était
relativement content de moi, mais en repartant, sous le ciel qui se
voilait, un peu après sept heures, je me faisais, moi, du mauvais
sang pour lui et son amaigrissement...
7 commentaires:
Merci pour ces brassées de fleurs
merci : c'est un peu le degré zéro du billet...
Mais non, la revue florale se respire à distance : les paysagistes sont de ssages !
et les fleurs peuvent remplacer les pensées (autres) même si elles sont périssables
Mais elle est ici ..la belle campagne
De rhétoriques ou non, toujours le dire avec des fleurs.
Arlette, la grand mode les fleurs des champs en ville (et je trouve que les jardiniers de la ville sont assez doués pour créer des minuscules paysages, faute d'avoir accès aux vrais)
Pierre c'est de la rhétorique pauvre ...
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