mardi, juin 30, 2009

Pas une maison, et rien pour accrocher un rêve, sauf cette végétation coincée entre deux museaux.
D'ailleurs à trop marcher les yeux en l'air, je risque les vertiges, et le retour à un univers qui pourrait être mien. comme cette rencontre tremblée de lundi matin.

7 commentaires:

  1. Les détails sont souvent passionnants !

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  2. plutôt chétive cette végétation qui se hausse dans un espace restreint,clandestine au coin d'une fenêtre au volet fermé?
    -la chaleur?
    et-ou- volonté de survivre ,
    malgré l'outrage du temps?

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  3. Selon la photo : végétation de terrasse avec parasol brun foncé entre fenêtres aveugles. Mais végétation attirée par le vide.

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  4. Tu peux baisser les yeux ..mais à la campagne c'est mieux

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  5. Les détails, n'est-ce pas ce qui prévaut dans l'existence ?

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  6. il vaut mieux tout de même s'abstenir d'une trop grande attraction

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  7. Waaaaaaaaaaouh, on dirait des bunkers en Normandie sur la première. Sans blague !

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