Mais encore un temps, la lumière glisse sur ta peau, et joue sur tes ressauts et détours, se niche en tendresse dans tes creux, à la naissance de tes grosses branches, te caresse, complice - et ta pelade n'est encore que parure, traits de miel pour rendre succulent le chemin des yeux - et de tout près ton odeur en est aillée.
L'arbre n'est heureusement pas de marbre qui s'embellit, lui qui vieillit...
RépondreSupprimerbonjour chère Brigitte, les arbres sont fascinant, majestueux,parcequ'ils habitent la terre et partage le ciel en même temps.
RépondreSupprimerJ'ai reçu un nouveau appareil et franchement je ne veux pas faire un film, mais il faut l'essayer une fois au moins alors je vais prendre un film d'un arbre dans le vent qui possède à ce moment les feuilles tremblantes ha ha.
Est-ce que vous avez fait cela? sans doute dans votre imagination c'est cela qui a pris le film?
ha ha non mais.,,
belle journée magique.
superbement dit.
RépondreSupprimerEt elle est belle sa peau au platane, toute neuve. Il rajeunit, se débarasse de l'ancienne quand elle l'ennuie. Il n'y a que les humains qui doivent s'accommoder de la leur ...
RépondreSupprimerbillet délicat, jolies photos... je repasserai, merci !
RépondreSupprimerl'arbre et les Corses tu connais je crois,
RépondreSupprimerBravo brige, j'aime beaucoup !
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