
Ce jourd'hui, en pays mien,
et dans d'autres, me dit-on,
avions droit de lancer sons
pour fêter la musique
Sans violons, sans sitars,
choeurs passionnés, justes ou non,
j'ai laissé la gloire au vent,
ce jourd'hui, en pays mien.
Me plaisent simples chansons,
grégorien, ventre en jazz,
mais trop maussade j'étais
pour aller en compagnie.
Brute suis, n'avais désir
de m'éjouir en y plongeant,
ce jourd'hui, en pays mien,
pour fêter la musique.
Tant et si bien que dissone et ne donne que boiterie. (et mirlitonnerie)
Une bouderie de la fête de la musique joliment décrite, très poétique, et franchement, je suis certaine que tu n'as rien raté ! De toute façon, tu n'es pas sans aller voir de la vraie musique tous les 4 matins, ou tous les 4 soirs ! Jolis montages photos, le tout comme d'habitude, empreint de douceur !
RépondreSupprimerJ'aime beaucoup...Un parfum de François Villon même...
RépondreSupprimerNous nous éjouissâmes chacun à sa manière
RépondreSupprimerJe finissais le soir jouant en solitaire
Il n'a pas plu
RépondreSupprimermais la fête s'essouffle...
Ta poésie est une douce musique. Bonne journée.
RépondreSupprimerEn avant la musique, surtout si c'est la tienne.
RépondreSupprimerque ta musique intérieure te suffise et si elle mirlitonne la faut aimer aussi
RépondreSupprimerQue de belles écritures chez toi !
RépondreSupprimerOui, il y a du Villon dans ce violon des mots.
RépondreSupprimerEn ce jour de la fête nationale du Québec, je viens vous dire que ces mots me touchent.
RépondreSupprimerCe jourd'hui, en pays mien,
et dans d'autres, me dit-on,
avions droit de lancer sons
pour fêter la musique
Pierre R.