Jour à oublier – La
fête de Marie, pas la mienne...
Je reprends deux
paragraphes embarqués sur des convois des glossolales
http://leconvoidesglossolales.blogspot.fr/
Ce matin là, ils allèrent
au bout du village, chez la grand-mère de la Mariette, avec des
doigts gourmands, mais au fond du jardin, à l'ombre du buis
clairsemé, il n'y avait plus de framboises et la grand-mère se
lamentait, y a eu une bande d'oiseaux pilleurs, mes enfants.
Ce
matin là, ils sont partis sur le chemin du port, pieds nus, chacun
portant une charge à sa mesure, le sac à voiles, le petit seau de
minuscules escargots blancs récoltés dans les herbes à côté de
la piste de la base aéro, le panier des palangrottes, ou celui du
pain et des abricots, et la brise de terre soufflait doucement sur la
plage quand ils sont arrivés au bateau.

Oh, brige, excellent !!!
RépondreSupprimerLa suite, la suite de la journée! La vivre avec eux!
RépondreSupprimerDu jardin de grand-mère au bateau amarré... comme je voudrais connaître la suite. ;-)
RépondreSupprimerPrénom : Marie, âge ?
RépondreSupprimerpas même matin - en gros je pense : devoirs de vacance, manger, se disputer, se réconcilier, dormir
RépondreSupprimerLa Mariette qui aide, dans les vingt ans je pense
"Chacun portant une charge à sa mesure" : philosophie matinale.
RépondreSupprimer"Les leuriers roses" Brigetoun 2012.
RépondreSupprimerTrès belle photographie.
zut va falloir que je surveille l'orthographe de mes trucs notés vite pour moi
RépondreSupprimerLes moineaux ne sont pas seulement dans les vignes
RépondreSupprimersans parler des enfants dans les framboisiers.
C'est ça, Brige, corrige donc la mienne ! Stp mets-moi un "a" à "leuriers". Je voulais écrire "lauriers". :D)
RépondreSupprimeroh Michel j'ai sincèrement cru que débrouillard comme tu l'es tu avais lu la légende de la photo et que je m'&rais trompée
RépondreSupprimer(je ne peux pas corriger, pas grave, les doigts s'égarent parfois (souvent pour moi) sur le clavier.. et là je me suis corrigée sept fois pour ce quelques mots)
Non, non, je n'avais pas repéré de coquille dans ton texte...
RépondreSupprimerIl faut toujours laisser des fruits sur les arbres c'est "la part des anges" disait de ma grand'mère
RépondreSupprimer"leurier"c'est parler pointu ça!!
un truc de parisien
bien pourquoi je croyais que c'étaient mes doigts les fautifs...
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