mardi, septembre 11, 2012

reliefs


Ce serait, là contre le mur de l'église
fermée car trop sont ici, et trop contiennent
ce serait, à côté du porche orné,
du pain et du vin,
relief d'un repas, en écho,
pauvreté,
sacré posé en la vie,
On ne saurait ce qu'est devenu le convive

15 commentaires:

  1. Inertie des objets précédée par une certaine animation et après le départ du convive.

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  2. Parti pour l'ascension du mont Ventoux, sur les traces de Pétrarque (et la Bible pour viatique) ?

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  3. mieux que du vin de messe...

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  4. Pas certaine qu'il ne s'agissait pas d'un de ces travailleurs, ou étudiant (?), touriste (?) qui prennent leurs repas en extérieur. Crois tu que ce repas soit vraiment misérable ?

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  5. en effet pas certaine - faudrait trouver le vin pour en connaître prix - fait très rude là

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  6. Traces... et une vie en pointillée
    Histoire à inventer!!!
    Ce serait..
    Toi , tu sais si bien le dire

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  7. Bien français et bien symbolique !

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  8. Le pain mal entamé est gâché
    la bouteille tient debout
    mais vide
    des mégots ça et là
    Nature morte au gobelet

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  9. Et s'il avait tout planté là pour suivre un jupon virevoltant au dernier soleil de l'été ?

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  10. Il se soigne au Ventoux, celui qui est passé par là, il y a pire !

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  11. oui mon premier réflexe n'était sans doute pas le bon - mais tant pis, c'est ce que j'ai pensé en voyant et capturant

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  12. Sylvie Tissot12:34 PM

    On ne sait malheureusement jamais ce que deviennent les pauvres convives

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  13. Anonyme6:53 PM

    Partir d'une photo et laisser vagabonder son imagination, sur le parvis d'une église... cet insantané ne m'évoque pas la misère, le vin a l'air de qualité à regarder l'étiquette, le pain pas terminé laisse penser que le convive avait peut-être les yeux plus gros que le ventre, le gobelet adapté au pique-nique :-)
    Pas écolo tout ça, laisser ainsi ces détritus, encore un(e) qui ne fait pas grand cas de notre planète. Simples locataires que nous sommes...

    Flore

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  14. HK/RL7:08 PM

    la vie
    ça serait là oontre
    (forcément)

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