ce fut
le blanc lumineux de la
neige, sur le Cambodge à Paris, sur Montréal, sur Mons, sur la
Loire, sur le Jura, sur...
le blanc doré du sable où
se perdent les 4x4 armés
le blanc rose de tendresse
du cyclamen revivifié sur la table de la cour
le blanc luisant du
yaourt, le blanc de la chair des petites pommes de terre de
Noirmoutiers, le blanc des navets longs, le blanc du papier gaufré
le blanc de la mousse
s'écoulant de la faïence blanche de la douche, le blanc moelleux
d'une serviette éponge neuve si pure qu'on hésite à l'utiliser
le blanc de ce fichier
ouvert, rongé par les lettres qui viennent comme peuvent
un dimanche blanc dans
l'antre
C'est beau, brige ! Bravo !
RépondreSupprimerJe n'ose imaginer si la neige avait été naturellement de couleur noire? La couleur du temps aurait été toute autre.
RépondreSupprimerLa blancheur repose avec son silence (merci pour l'allusion au Cambodge).
RépondreSupprimerLe blanc va bien avec le dimanche, religieusement.
RépondreSupprimer:D
Janvier n'est-il pas le mois du blanc ? On est, cette année, largement servi !
RépondreSupprimerRue des Blancs-Manteaux
tapis tapis blanc
Rue des Blancs-Manteaux
pas un moineau dans le rue.
Nougaro :
RépondreSupprimer- "Armstrong, je ne suis pas noir
Je suis blanc de peau
Quand on veut chanter l´espoir
Quel manque de pot
Oui, j´ai beau voir le ciel, l´oiseau
Rien rien rien ne luit là-haut
Les anges... zéro
Je suis blanc de peau..."
Blancheur des nappes brodées que les bougies illuminent
RépondreSupprimerComme un peu de chaleur dans ce manteau blanc des écrits
J'aime ce blanc
RépondreSupprimeret j'aime comme vous l'avez décliné.
Le blanc de ton fichier est illuminé (et non rongé)par les lettres qui viennent l'enrichir
RépondreSupprimeridéal contre les idées noires
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