Sous la mousse,
Sous leurs peaux de
pierre,
L’inévitable chair,
pourquoi pas granite rose,
Palpite, immobile.
Comme un second fardeau.
L’attente, à nu, de
regards,
Se voudrait communicative.
Criante, peut-être.
Hèle, sans bruit, porte
poids.
Et portent haut, séparées
de sémaphores,
Portent leur dévoilement,
Font mine d’attendre un
paravent
L’effort bravache, sans
l’air de trop y toucher,
Ils hissent leur lassitude
souriante,
Et quand disparaît le
passant
Laissent retomber leur
cou.
C’est un effort de jouer
celui qui n’a pas vu qu’on le regarde,
De lutter chaque instant
pour que ne s’effrite davantage
La chair de pierre.
Paumée est beau
aujourd'hui – tout content d'avoir changé et d'être entre les
mains de François Bonneau en place de Brigetoun.
Laquelle est allée
divaguer sur l'irrégulier http://irregulier.blogspot.fr/
(fière comme tout)
Tiers Livre et
Scriptopolis sont à l'initiative d'un projet de vases communicants :
le premier vendredi du mois, chacun écrit sur le blog d'un autre, à
charge à chacun de préparer les mariages, les échanges, les
invitations. Circulation horizontale pour produire des liens
autrement… "Ne pas écrire pour, mais écrire chez l’autre."
La liste des
participants, que j'espère correcte se trouve sur un blog dédié à
ce seul usage http://rendezvousdesvases.blogspot.fr/
et ci-dessous si vous préférez