matin
humide
l'air
suinte fines gouttes
presqu'invisibles
la
nature boit
ce
plaisir trop retardé
ce
cadeau du ciel
surtout
désiré dans les collines, loin du fleuve
Mon
cadeau à moi, celui que me suis fait, a nom escaliers
en attente, après que je
sois venue à bout du sac de repassage, avec l'assistance des vidéos
sur Deleuze et la littérature (Proust et James) - et que je sois
redevenue de loque épuisée un être vaguement humain.
Saisissant changement entre Alès (29*) et Aubenas (19*) en une heure, et enfin le Puy dans le brouillard et le frais (16*)
RépondreSupprimerdur à supporter et surprenant en effet
RépondreSupprimerLa météo court
RépondreSupprimerà
toute
vitesse
de marche
en marche
dans
certains
escaliers...
et le soleil descend chaque jour, d'irrégulière assise en irrégulière assise, un peu moins sur mon mur
RépondreSupprimerJ'admire votre résistance à la chaleur de l'été avignonnais! Moi je me sens revivre avec 10° de moins. En plus, par chance, le soleil, plus bas à l'horizon, pénètre beaucoup plus sur ma terrasse et dans mon séjour en hiver qu'en été.
RépondreSupprimerPas encore assisté le repassage ?
RépondreSupprimerÇa viendra comme l'automne, plus vite qu'on ne le pense à moins de faire une croix dessus...
Lavande moi il ne vient me voir que quand il est haut... sommes irrémédiablement différentes (sourire
RépondreSupprimerPierre : déjà un pantalon, un torchon e un tee-shirt dans le sac à repasser