Merci

debout au seuil de sa petite cour, dans le petit vent et le son des cloches, Brigetoun réalise qu'elle a interrompu bien trop tôt sa trop petite pause, constate que le coeur n'y est plus et rentre dans le silence

avec gratitude aux gentils qui ont persisté à passer voir paumée

avec le projet de continuer ponctuellement à suivre les blogs amis, à découvrir quand l'envie la prendra mais avec la même réserve que celle , impérative, dans ses lectures hors internet (au risque du soupçon d'égoïsme... mais pour moi c'est discrétion)

et dans l'immédiat retrouve avec plaisir l'intelligence de l'écriture ferme d'Anthony Poiraudeau dans Chruchill, Manitoba chez Inculte (une adresse qui m'est devenue incontournable), après avoir commandé les nouvelles traductions de Kafka par Laurent Margantin pour Numeriklivres (dans la version papier, pour une fois... malgré le problème de place), et quelques autres.

Que la vie vous soit bonne.