Milieu d’après-midi, m’en aller vers Calvet, en faisant détour par l’extérieur des rempart entre deux portes pour que se meuvent un peu mes jambes et pour le plaisir de la douceur de l’air
Quelques modifications dans la disposition des oeuvres, et pour gagner le premier étage qui est à nouveau ouvert (ne l’était pas lors de mes précédents passages) saluer à la place des grandes statues de bois qui accompagnaient l’horloge de l’hôtel de ville (remplacées par des copies) le petit bronze de Louis Desprez d’après le Milon de Crotone de Puget.
Au premier étage, après le 17ème siècle avec, notamment, la nature morte de Pierre Dupuis et le Christ de l’atelier de Philippe de Champaigne,
retrouver avec plaisir les grands Vernet et louper magnifiquement (tableaux peu éclairés, ou reflets des petites lampes, ou ma fausse désinvolture | étais le seul appareil en action | et ma vraie maladresse, grandes tartines aussi surtout vers la foin de la galerie consacré au 19ème) mes photos, seuls étaient presque sauvables (ce qui était aussi bien le but de ma visite étant autre) des détails de Vernet
les petites jardinières de Charles-Amédée van Loo
la jeune fille attribuée à Henri-Pierre Danloux
et, avant les grandes tartines, le portrait de jeune fille de Géricault et une étude que j’aime de Chassériau
Et puis, parce que l’heure était venue, nous nous sommes regroupés, visiteurs et ceux qui n’étaient venus que pour cela, à petite distance des murs et des tableaux, laissant libre le centre de la galerie et le mur sur le jardin, pour assister à la contribution du ballet de l’opéra à « la grâce » avec trois courtes pièces, en nous déplaçant d’une section à l’autre (ai loupé deux photos, gardé une de chaque… toujours difficile de photographier avec un appareil basique le mouvement des danseurs, surtout quand la danse s’inspire plus ou moins du hip hop, comme j’en étais conscience, ai privilégié le simple regard)
et le ballet conçu pour le quatrième acte d’Atys (bon je regardais aux meilleurs moments)
Reprendre l’escalier (Vernet en passant)
et aller voir, assez rapidement, l’exposition provisoire, au fond de la galerie des sculptures entre cour et jardin,
de toiles et gravures portraiturant Avignon, tenter des photos (assez difficile vitres des tables et tableaux peu exposés et accrochés parfois très hauts) ne garder qu’une vue générale de Paul Saïn et une vue de Notre Dame des Doms de Léo von Klenze.
Dans dans un musée : il devrait y en avoir plus souvent (même si présente sur des tableaux du cher Degas)… :-)
RépondreSupprimerQue du beau pour ce printemps des arts hors "tartines". Merci.
RépondreSupprimerDominique l'ennui serait de devoir tourner le dos aux tableaux, sans s'appuyer sur eux ni les voir et ne pouvoir. circuler... ne saurait durer trop logtemps
RépondreSupprimermerci Pierre
RépondreSupprimerDanse et peinture font bon ménage. La profusion des tableaux est presque excessive.
RépondreSupprimerMerci pour cette visite.
RépondreSupprimercomme sont charmantes les petites jardinières de Charles-Amédée Van Loo
et adorable la jeune fille attribuée à Henri-Pierre Danloux
merci pour l'indulgence Maria
RépondreSupprimerGodart, pas tant, c'est accroché un peu comme ce le serait dans un hôtel particulier (sauf dabs la petite expo provisoire où ils sont superposés comme dans un cabinet de curiosité dix-septième)
RépondreSupprimerLa tête tourne
RépondreSupprimerou peinture ou ballet non cette nouvelle mode me dérange Désolée AA
Arlette c'est peut être pour cela que le public était (heureusement) restreint
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