Courte marche en bleu
rétrécie par l’air plus frais
Cheveux dans le vent
Et pour saluer le Printemps des poètes qui s’achève, reprendre , avant de lire utile, le beau n°17 des Fragments de la Source arrivé samedi, et « Dans la forêt de MareLongue », le long poème de lave et de vie de Laurent Margantin..- en recopier ici le début
« étrange gymnastique
du bois de rempart
aux racines si puissantes
qu’elles se dressent sur le sol pétrifié
et soulèvent le tronc comme une danseuse
apparition d’un arbre
à la gueule cassée
large ouverture un oeil une bouche
vie béante hurlante
les frondaisons ne sont pas épaisses
le sol par instants est éclairé
feuilles et scories étincellent… »
Les forêts urbaines résistent… :-)
RépondreSupprimerUn dimanche en beauté.
RépondreSupprimerDominique ... si seulement... on la coupe beaucoiup notre forêt urbain et je pleure encore devant certains vide
RépondreSupprimerMaria avec la surprise de voir la glycine qui se préparait vaguement éclore ainsi brusquement
RépondreSupprimerPrésence vivante
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jusqu'à celle
de la main.
loui, cadeau qu'il nous fait
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