lundi, mars 25, 2024

pour dimanche, un poème manuscrit


Courte marche en bleu

rétrécie par l’air plus frais

Cheveux dans le vent




Et pour saluer le Printemps des poètes qui s’achève, reprendre , avant de lire utile, le beau n°17 des Fragments de la Source arrivé samedi, et  « Dans la forêt de MareLongue », le long poème de lave et de vie de Laurent Margantin..- en recopier ici le début



« étrange gymnastique

du bois de rempart

aux racines si puissantes

qu’elles se dressent sur le sol pétrifié

et soulèvent le tronc comme une danseuse


apparition d’un arbre

à la gueule cassée

large ouverture un oeil une bouche

vie béante hurlante


les frondaisons ne sont pas épaisses

le sol par instants est éclairé

feuilles et scories étincellent… » 




6 commentaires:

  1. Les forêts urbaines résistent… :-)

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  2. Dominique ... si seulement... on la coupe beaucoiup notre forêt urbain et je pleure encore devant certains vide

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  3. Maria avec la surprise de voir la glycine qui se préparait vaguement éclore ainsi brusquement

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  4. Présence vivante
    ...
    jusqu'à celle
    de la main.

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  5. loui, cadeau qu'il nous fait

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