Belle lumière
et au ciel un bleu gelé
qui donne désir
d’y sauter de s’y asseoir
pour regarder les humains
qui vont, viennent, discutent, rient, agissent dans les rues de la ville
et puis de rentrer dans l’antre pour les lire, les écouter avec le détachement d’un dieu.
« Bleu, bleu, bleu le ciel de Provence, blanc, blanc, blanc le goéland…. » et votre humeur vagabonde.
RépondreSupprimerune chanson que j'ai toujours almée... qui me ramène sur une plage du Mourillon et à l'adolescence
SupprimerWouah quel détachement !!!!
RépondreSupprimervaut mieux les regarder avec une tentative de détachement les humains en ce moment de peur de désespérer (et flasher sur les merveilleux qui susistent)
SupprimerÔ ! quelle jolie note
RépondreSupprimeren mots et couleurs
oh merci Maria (sourire)
Supprimeroh, oui, la belle position en hauteur et à portée de voix, dans le bleu, c’est parfait !
RépondreSupprimercomme certains anges et saints entourant dieu sur les plafonds des églises baroques
SupprimerEt penser que l'on a été l'un d'eux
RépondreSupprimeressayer de croire un moment qu'on est en dehors
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