Sortie dans la matinée pour m’en aller dans les rues de la ville
j’ai rempli peu ou prou le programme que m’étais fixé avant mon départ vendredi vers Toulon, et j’ajoute en fin de billet ma plus récente contribution à l’atelier du tiers.livre de François Bon, après une photo d’une vitrine de la rue Saint Agricol (sur le blog de l’atelier me suis emmêlée en mettant en place ma table des matières, bonne à rien suis)
11ter - nos trois présences
Nous trois, et d’abord Claude Ludion nous marchions vers la fin de ce jour
Nous trois et toi surtout le sauvage Bertrand Dusang nous avons marché vers la fin de ce jour
Nous trois et premier Kléber Pascal nous avions cessé de guetter le passage d’un jour à l’autre
Nous ensemble et séparés nous avons cessé de guetter le passage d’un jour à l’autre
Nous ensemble Claude Bertrand et Kléber nous rêvions quand il ne le fallait pas
Nous ensemble nous avons rêvé et il ne le fallait pas.
Ce texte me fait penser à Virginia Woolf ( la vague) comme un souvenir bref sorte de flash
RépondreSupprimersalut (et bravo pour l'identification) Arlette - avec Christine Jeanney, l'amie, (oui ça vient d'elle l'idée de la Vague) suis de plus en pauls perdue et Paumée sourions
SupprimerIls auront du mal à interdire les rêves… /==/
RépondreSupprimeron peut le croire !
SupprimerN'oubliez rien ! bon voyage.
RépondreSupprimermerci Pierre
SupprimerOOOh ! Rêver ! il le faut toujours... toujours...
RépondreSupprimern"est-il pas ?
SupprimerJe n’ai pas vu la vidéo de François qui est à la source du texte, mais c’est très rythmé et corporel l’effet que ça donne
RépondreSupprimermerci Christine
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