Mes cheveux lavés
redresser le dos cassé
écrire lundi
avec l'aide de notes,
honte, prises dans la nuit.
Pour répondre à la proposition #3 de l'atelier « écrire-film » de François Bon (en gros se souvenir de moments « épiphanies » de la veille et en faire des paragraphes – me méfiais de ma mémoire pagailleuse – et, pour tout avouer, j'avais gardé en réserve une photo prise presque instinctivement pour garder trace d'un moment de mon trajet du lundi après-midi et m'en suis servie.
Petite sieste, quelques corvées-comptes, un petit circuit de nettement moins d'une heure.
Et me suis installée pour lire des contributions... mais j'ai un si terrible retard qu'il est certain que ne le comblerai jamais (lu un dixième environ de la masse publiée sur le site).
Se faire un film mentalement, ça n'oblige pas à porter un masque, c'est pratique... :-)
RépondreSupprimerCe bleu m'enchante.
RépondreSupprimerDominique.. en dehors de l'antre je suis toujours masquée (mais fat que je fasse tirer aujourd'hui la nouvelle formule du pass)
RépondreSupprimerMaria, moi aussi! même si souvent il s'accompagne d'un peu plus de froid
RépondreSupprimerEt quel hymne au soleil a joué le platane !
RépondreSupprimerRené... chantent Les platanes
RépondreSupprimerCe bleu ces pierres Avignon à 5 heures
RépondreSupprimerClaudine, pourvu que ça dure !
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