Ciel blanc ou absent, me rendormir trop longtemps, Paumée en comas avancé et subit, ruminer ma médiocrité dans un monde que seules quelques pépites relèvent, ma leçon de l'après midi annulée et un océan de liberté qui devrait me sourire et me parle de ressassement... et puis la sonnette, un paquet, la gentillesse qui me confond comme toujours et le ciel devenu bleu.
Alors pour rien, juste pour mes jambes et pour la lumière, m'en aller dans les rues... côtoyer rires, maussaderie, fatigues, jeunesses, beauté, décrépitude...
Paumée lui dormait toujours – tenter compressions pour l'atelier (et me dire qu'il faudrait que je prenne décision du clap de fin).
Mais non...un mauvais vent..le ciel reste bleu au loin
RépondreSupprimerm'en veux quand Paumée se meurt (hier le tiers du nombre de passages, un peu plus même)me sens minable, coupable alors que c'est une réaction stupide de courtisan
RépondreSupprimerPourtant, beauté des lumières, et des ombres portées.
RépondreSupprimerces morceaux d'images collectés ou plutôt captés, valent tout l'or du monde chère voisine, pas d'inquiétude il y a encore tant de cheminements à faire et de sensations intérieures à communiquer dans ce labyrinthe à ciel ouvert, nous comptons sur vous
RépondreSupprimerMaria cela sauve
RépondreSupprimermerci David...
RépondreSupprimerIl fait pourtant si bleu ici, qu'on aime bien revenir.
RépondreSupprimerClaudine et encore aujourd'hui (mais suis enfant gâté, ai tendance ) trouver cela normal)
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