le feuillage dru
devenu comme éternel
du micocoulier
un coin de place
se préparant lentement
à la musique
un faux naturel
se voulant vertueusement
sans artifice
l'ombre qui berce
tendrement une attente
de pensées douces
à nouveau s'ouvre
la Maison de Jean Vilar
gardée par ses lions
partout étalées
les toiles des parasols
aux couleurs tendres
merci Dominique ! (plus picorage qu'inventaire en fait)
RépondreSupprimerlà, ci-dessus, je répondais au gentil commentaire de Dominique Hasselmann
RépondreSupprimerbel inventaire parlant
Comme une attente paisible avant la déambulation des promeneurs ..
RépondreSupprimerEt le tronc du micocoulier (beau mot) (toutes les qualités cet arbre :-)))
RépondreSupprimerArlette oui dans un trou
RépondreSupprimerChristne, celui dont l'écorce ressemble le plus à une peau
RépondreSupprimeron devine la chaleur dans votre beau pays
RépondreSupprimerpas tant - là c'est juste agréable
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