un mistralounet
pour faire un beau jour d'été
la ville calme
m'en suis allée en milieu de matinée dans la ville où, malgré les nombreuses troupes qui jouent encore, le festival se fait fort souvenir (les équipes de nettoyage du grand Avignon ont été très actives pendant tous ces jours)
vers les halles où tous les étals sont encore ouverts mais sans beaucoup d'acheteurs ni même de touristes.
Et suis revenue avec ce que pouvais porter, deux cents grammes de cabillaud, un rouget, un concombre et deux courgettes... Les files de touristes cornaquées prennent la relève pour animer les rues.
Et me suis installée entre intérêt, calcul de trajet, curiosité, ou non, devant l'énorme programme du off (sur l'écran) perplexe, amusée, jouant presque à « AmStramGram »... ai noté une quinzaine de spectacles, y ai ajouté l'exposition de mon amie Martine Benoit... et en suis restée là, baleine sereinement obtuse, sans même l'énergie nécessaire pour m'en désoler.
Les radis jouent leur pièce en costumes d'arlequin... ;-)
RépondreSupprimer22 jours .. (ouf pas off ) marathon réussi et ce vide soudain de la ville comme un lavabo trop-plein sans débordement,détente accordée
RépondreSupprimerDominique, vrai costume de théâtre pour une ville en partie italienne
RépondreSupprimerArlette mais sur ces 22 jours il y en a eu au moins 5 où j'étais totalement out... (ou in l'antre)
RépondreSupprimerPoint de honte à paresser, ni à flâner entre les étals si beaux, si colorés...
RépondreSupprimerMaria mais ne fait que constater... comme tout va un peu mieux, je paie classiquement ce sacré mois de juillet qui a été passablement pénible
RépondreSupprimerJ'arrive quand tout est fini? Heureusement, il y a le off
RépondreSupprimerplus beaucoup de off (mais vu deux hier - aujourd'hui hôpital, demain petit fils... je crois que là il est fini pour moi le off - enfin on verra)
RépondreSupprimerDoigts croisés pour aujourd'hui
RépondreSupprimerça y est ! alors que le charmant jeune chirurgien pensait à deux semaines encore avant la radio... viens de couper l'anneau, de rendre une douche, et vais dormir (contre-coup du bonheur)
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