Le ciel d'un bleu franc du matin avait, pendant que vaquais, siestais, me promenais un peu dans généalogie, viré en faisant des grumeaux lorsque je suis sortie un peu après quatre heures pour me dégourdir un peu (trop peu) les jambes... et le fleuve semble avoir monté.. promenade agréable mais j'avais envie de me retrouver avec une tasse de thé et de recopier le travail de mon frère.
Sans oublier d'habiller Paumée, selon l'habitude prise, en recopiant ma contribution du 10 décembre au carnet du tiers.livre (#31 / de l'état du monde)
Oh vous qui pour être élus chatouillez les idées brunes et craignez l'accueil que vous devriez assurer que ferez vous quand se déverseront dans la rue les expulsés, les quatre familles avec enfants français et les cinquante jeunes aux yeux désespérés qui sont venus apprendre ne le pouvant chez eux, quand ceux que vous voulez flatter reculeront devant ce spectacle, oh vous les idiots dominateurs qui vous croyez pragmatiques et détruisez l'âme et la richesse du pays.
Ici aussi, le fleuve a monté. Courte promenade, en fait une brève sortie, sur la levée, histoire d'une photo.
RépondreSupprimernos fleuves avec leurs différences suivent les saisons de même façon
RépondreSupprimerMerci pour cette promenade photographique poétique. Votre texte traduit bien une colère si légitime.
RépondreSupprimerdouble merci. Godart
RépondreSupprimerVotre contribution me va droit au coeur et j'acquiesce en votre sens.
RépondreSupprimerEt j'aime vos photos de bord de fleuve.
merci Maria
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