devant ma porte
écharpe de guipure
à travers le bleu
volets entrouverts
que la lumière ne frappe
que pierres et bois
comme en un jardin
la bordure ensoleillée
des sauvageonnes
il veut oublier
que ne sera beau vieillard
petit olivier
Saint Martial, signal
dans un battement de cils
au bout de la rue
blottie dans l'ombre
la terrasse du café
encore vide
un dernier regard
sur la paix lumineuse
en cherchant ma clé
Esprit poétique sur le chemin familier ..comme un paisible parcours
RépondreSupprimermerci Arlette, avons toujours besoin de paix
RépondreSupprimerBelle expo ! (Votre ciel ressemble à l'un des miens ce matin) ! ;-)
RépondreSupprimerla clé des songes. . .
RépondreSupprimerDomiique vos ciels ressemblait à mon premier ciel c'est bien ce que disais (sourire)
RépondreSupprimermerci
merci Pierre pour ce passage
RépondreSupprimersuis très ignorante en songes
Revenir et vous retrouver
RépondreSupprimerc'est une grande joie
merci pour ce florilège de haïkus
euh florilège est un bien grand mot (sourire)
RépondreSupprimerque cette paix lumineuse nous garde...bien à vous P
RépondreSupprimermerci... et en fasse autant pour vous
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