Quinze heures trente
Rosmerta en ruche calme, prendre une table dans la cour, sur laquelle le plus gros de l'orage avait glissé (les vieux bois étaient imbibés) et travailler les phrases encore, F avançant avec brio pour se bloquer soudain sur ce qui semblait acquis... démonter, trouver nœud, remonter... et puis décider un peu avant deux heures de cet exercice que nous en avions assez...
(elle est arrivée trop tard pour être scolarisée et se décourage à l'idée de perdre tout ce temps... mais après la longue coupure du voyage une bonne révision | et davantage | est souhaitable avant d'espérer s'incorporer à une sixième – tenter de lui expliquer qu'elle n'a pas du coup droit de faire un stage comme les garçons.)
Le ciel du retour
n'avait plus que des traces
d'un bleu très pale.
"la chaleur jaspe le bleu"...
RépondreSupprimerje garde cette phrase et l'admire. :-)
oui elle y mettait u. peu de blanc qui peu à peu a gagné jusqu'au violent orage de la nuit (elle était signe annonciateur... on en a pour une semaune)
RépondreSupprimerPetit ciel confus dans le désir d'étudier de ta petite élève..tout un apprentissage Belle patience Bravo
RépondreSupprimerAnonyme c'est surtout elle qu'il faut encourager... découvrant qu'elle n'a aucune chance de ne pas perdre son temps jusqu'à la rentrée prochaine et que tendance à relativiser la nécessité de renouer avec la grammaire et les maths
RépondreSupprimer"Seules les traces font rêver" comme l'écrivait si bellement ce cher René Char
RépondreSupprimerqui dit toujours fortement et bellement
RépondreSupprimerCoucou comprends pas "anonyme "c'est moi Arlette
RépondreSupprimerdoublement merci alors Arlette
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