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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, février 18, 2024

Reconnaître les conséquences de traumas


Chemin du matin

ciel radieux et petit vent

à pas résolus

avec quelques embardées

vers des intelligences




M’en suis allée matin, à l’heure où d’ordinaire, vieille retraitée paresseuse, je sors de la douche après une longue ballade/amis d’internet, yeux dans la lumière bleue, pas très sure de mon équilibre, mais ça se réglait par une trajectoire parfois sinueuse, 




traversant le marché du samedi des rues Carnot et du portail Matheron et petit détour pour le plaisir des yeux par la place des Carmes, ajoutant au petit sac contenant une gamelle de pâtes à moi destinée des fougasses olives ou anchois et quelques minuscules saucissons parfumés pour ajouter à la table de victuailles pour après débat…



jusqu’au Fenouil à vapeur, lieu chaleureux,



écouter deux bénévoles, l’une | parmi celles et ceux  à l’origine de Rosmerta |psychologue défendant des victimes, l’autre | qui nous a rejoint plus récemment | allemande qui défendait en son pays devant les tribunaux des immigrés en détresse non reconnue, qui toutes deux interviennent après des jeunes ou femmes qui en font la demande, pour nous (enfin moi c’était désir de savoir et de corriger éventuellement ma façon d’être quand je me manifeste encore) pour savoir détecter ce qui, inconnu d’eux ou qu’ils taisent, peut à des degrés divers colorer, produire, expliquer, causer leur mal-être, les absences, décrochements, blocages sur des détails incompréhensibles, dépressions, colères, hyper-activité, et les petits remèdes qui peuvent les aider, sauf consultations et entretiens avec professionnelles, elles ou d’autres, nécessaire. Je ne vous inflige pas, ni ne m’inflige, le décryptage des notes prises pour mémoire, de ce qu’en ai tiré, riche, parfois évident mais bon à préciser, ni des récits durs que nous recevions, commentions à peine, visages attentifs, tendus, parfois tirés. 




Retour avec la petit allégresse que je tire toujours de ces rencontres et l’aide d’une infâme batte chocolatée. Joie en achetant chez le marchand de légumes locaux de la rue Carnot un mini chou-fleur minuscule luxe, de retrouver derrière le comptoir un ancien de Rsimerta que n’avais pas reconnu et de parler avec lui Kobo et Kindle, son rêve à l’idée de pouvoir disposer de tour ces livres sous la main et en avoir la clé, parce qu’il se souvenait de m’avoir vu tuer une attente avec… et effondrement cet après-mdi… suis pas encore prête à les rejoindre. Et je m’attaque à l’identification des oeuvres présentées dans les deux premières salles de l’hôtel de Montfaucon que j’avais programmées pour aujourd’hui mais remets le résultat à demain si j’y arrive (sourire) 

6 commentaires:

Anonyme a dit…

bon courage à vous et bravo !!! P

Brigetoun a dit…

oh moi ne fais qu'accompagner un peu et de loin la plupart du temps... plus la force, mais gens admirables

Dominique Hasselmann a dit…

Sûrement intéressant mais qu'avez-vous encore à apprendre dans ce domaine ?… ;-)

Brigetoun a dit…

oh beaucoup, ne suis pas psychologue... comme le moyen de casser la glace qui paralyse en remettant corps en mouvement

arlette a dit…

Tu transmets..et c'est déjà si important de parler 😍😍

Brigetoun a dit…

merci Arlette