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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, octobre 01, 2024

Trop d'images de Rodez

 


Journée active et sans relief… pas rempli ton mon programme, suis lente et me laisse un peu trop envahir par ce qui serait un théâtre : la politique actuelle si elle n’avait autant de conséquences… petit tour en ville sous un ciel qui ne savait s’il était lumière ou masse grise, dans une presque tiédeur.



Je ressors les dernières images (trop nombreuses, et pourtant t’en ai supprimé… errais un peu…) depuis les retrouvailles devant le Musée (les chambres d’hôtel n’étaient pas encore disponible)



un déjeuner sur l’agréable terrasse ensoleillée de la brasserie et, en attendant de partir au lieu de la crémation, notre groupe flottant un peu, flânant jusqu’à la cathédrale (tenais à la voir, ne connaissais que l’extérieur)



pour y passer un long moment, au gré de chacun, en petit groupe, seule pour prier, seule | moi| pour promener yeux et objectif… pardon


Après la cérémonie (étonnamment digne et recueillie) revenue à l’hôtel, les ai laissés et m’en suis allé marcher un peu au hasard (il était trop tard pour aller jeter un coup d’oeil à l’exposition Fontana au Musée Soulages) et je suis tombée sur une galerie (qui n’avait pas l’air d’en être une) proche, la galerie Bshop où errer en souriant dans l’assez grand espace qui présentait deux sculpteurs et deux peintres




Pour les sculpteurs Mike Nyakusvora et Zachariah Njobo, je n’ai pas eu la présence d’esprit de noter ni même de regarder qui avait fait quoi, occupée à refuser à ma main de caresser la matière, et ne peux identifier que, grâce à ma photo, la dernière, « American Beauty » oeuvre de Zachariah Njobo. 



L’un des peintres, Jean-Michel Cordier, ne présentait que quelques tableaux, de bonne facture.



Restait Hervé Maury, le mieux représenté, dont ne sais si l’aurais apprécié un autre jour (assez tout de même je crois) mais qui était ce qu’il me fallait.



Continué  errance dans le quartier de la cathédrale et du musée, en m’interdisant toute photo, en m’obéissant presque. Un dîner agréable et le lendemain un petit déluge pour notre départ.

6 commentaires:

Arlette A a dit…

Difficile d'avoir l'esprit libre ,dans de telles circonstances
Suis entrée une fois dans l'église de Rodez après le musée Merci pour la souvenance

Dominique Hasselmann a dit…

J'ai été dans la cathédrale de Rodez… mais pas à la chapelle Paraire, trace d'Artaud à l'asile de 1943 à 1946… :-(

Brigetoun a dit…

tant à voir... la cathédrale a l'avantage de pouovoir être vue juste le temps que l'on a de disponible, le principal de mon pasage là étant notre harmonie familiale et l'adieu au frère

Brigetoun a dit…

moi non plus (et pas davantage dans les assez nombreux endroits à visiter) alors en passant ai été sensible à la présence insolite des années 30 dans le centre

mémoire du silence a dit…

la cathédrale de Rodez que j'aime tant... avec ses gargouilles qui m'avaient tant impressionnée la première fois que je les vis ... Rodez est une ville que j'aime et qui m'émeut, toujours j'y ai l'impression de marcher sur les traces de Soulages, en compagnie de l'âme d'Antonin Artaud ... lors de mes escapades,
toujours je m'arrête à Conques-en-Rouergue

merci Brigitte pour

Brigetoun a dit…

pas mal du tout aussi Conques (euphémisme souriant)