Un réveil tardif, ma maladresse en gloire, ne suis sortie qu’après dix heures
Lumière et ombres
Marche en fin de matinée
Le vent n’est qu’idée
Mes yeux en quête, pour ne pas penser, ou plus justement pour maîtriser mon cerveau,
Les pluies et le vent
nous ont laissé verdure
Et l’ont malmenée
Mon ordinateur ramait, mon cerveau baguenaudait, me suis appliquée, ai publié le un de l’atelier, lisant un ami, ai découvert le mot haïbun qui n’a rien à voir avec ceci.
8 commentaires:
Alors, les paysans d'Avignon retournent aussi les vélos ? ;-)
et là c'est un très jeune paysan.
« haïbun » grâce à votre lien, définition au bout du clic, votre texte n’en serait pas un, dites-vous ? hum…. mais comme c’est bon de vous suivre dans cette ville d’après vents furieux, une ville familière par la force de votre regard.
merci mais une ville qui est prise par le froid coimme partout ou presque aujourd'hui
Ô ! quelle belle découverte : "haïbun"...merci
Ici, il neige... c'est trop joli...
(hier ai laissé un com, disparu... je ne me souviens plus ce qu'il disait :-))
contente pour vous que vous ailiez la neige (honte à moi je la déteste pasé le premier quart d'heure surtout en ville--)
Oui ce n'est pas une pomme ... sourire
___
merci pour cette découverte d'un mot ignoré
En même temps qu'elle m'a rappelé
l'homme et l'oeuvre Francis Royo
et sa série
https://relire.net/analogos/spip.php?article898
beau et triste souvenir
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