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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

vendredi, décembre 20, 2024

Riche fin de journée


Une matinée avec des contre-temps sans gravité mais un doute qui me venait quant à mes possibilités de réaliser mon programme de fin de journée, accentué par un petit mal-être presque rituel au moment de partir à cinq heures (bien trop tôt) vers Rosmerta



avec un détour pour faire tirer un pouvoir que j’avais reçu dans une boutique qui pour une fois était vide, d’autant plus rapidement que la nature un fichier interdisait de le traiter autrement que par un iMac, absent de la boutique (et finalement ça n’a pas été nécessaire)

 


Le charme du jour

rosissant de nous quitter

et l’activité

organisée, diverse,

mon attente oisive

L’assemblée en accord parfait, les ajustements aux projets quasi somptueux causés par la baisse des moyens des soutiens… des échanges sur l’ambiance peu favorable à l’accueil de note cher pays etde notre belle Europe… et contrairement à ce que nous pensions, assemblée se clôturant sur cette phrase du Président « juste à tes pour ceux | en fait celle, c’est à dire moi | qui vit au théâtre puisse sans doute le faire » ce que lui, le savais, ne pouvait alors qu’il était invité comme ami de la troupe dans l’impossibilité de m’imiter et de filer, première, pendant que tous se dirigeaient vers un petit pot d’adieu.




Dopée par cette phrase suis arrivée au Théâtre des Halles cinq minutes avant le début du  « Musée des contradictions » d’Antoine Wauters



Photo ©Patrick Laffont de Lojo

par le Collectif ildi ! Ildi, dans une mise en scène de Sophie Cattani et Antoine Oppenheim, spectacle ainsi résumé sur le site du théâtre 

« Prenant appui sur Le Musée des contradictions d’Antoine Wauters, prix Goncourt de la nouvelle en 2022, le Collectif ildi ! eldi donne la parole à plusieurs êtres extraordinaires et ordinaires à la fois, qui nous racontent depuis la forêt la façon dont ils et elles ont voulu se rapprocher d’elle. À la manière d’un musée vivant, ces individus de générations et de milieux sociaux différents nous parlent depuis un aujourd’hui qui semble légèrement dystopique pour questionner ensemble notre façon d’être au monde. Une fable écologique à l’orée du bois, là où la ville s’arrête et où la nature reprend ses droits… »

Et malgré la détente qui m’a fait dodeliner de la tête deux ou trois fois, spectacle auquel j’ai trouvé un charme certain(avec une préférence pour la première parte celle du vieux échappé de son Ehpad, les autres étant plus convenus) 

Belle composition musicale de Pierre Aviat et Damien Ravnich - très bons acteurs (instrumentiste de surcroit pour l’un des personnages),décor réduit à un cadre rectangulaire métallique portant de petites ampoules qo devient lac dans la forêt, clairière, ou cadre vertical pour une prise de parole et la musique finale.




Rentrée à temps pour bricoler les éléments d’un communiqué de presse qui m’attendait à publier sur les pages Facebook et Instagram de Rosmerta et pondre lentement à cause de ma lutte avec mes mains pleines d’initiatives, ét préparër le riz et le cabillaud qui vont faire mon diner.

2 commentaires:

Dominique Hasselmann a dit…

Forêts, cabanes… un autre habitat à envisager ! :-)

Brigetoun a dit…

mais en l'habitant. nombreux on la détruirait (sourire)