commentaires

désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, mai 20, 2025

Avant une absence

 


Sortie dans la matinée pour m’en aller dans les rues de la ville



j’ai rempli peu ou prou le programme que m’étais fixé avant mon départ vendredi vers Toulon, et j’ajoute en fin de billet ma plus récente contribution à l’atelier du tiers.livre de François Bon, après une photo d’une vitrine de la rue Saint Agricol (sur le blog de l’atelier me suis emmêlée en mettant en place ma table des matières, bonne à rien suis)


11ter - nos trois présences


Nous trois, et d’abord Claude Ludion nous marchions vers la fin de ce jour

Nous trois et toi surtout le sauvage Bertrand Dusang nous avons marché vers la fin de ce jour

Nous trois et premier Kléber Pascal nous avions cessé de guetter le passage d’un jour à l’autre


Nous ensemble et séparés nous avons cessé de guetter le passage d’un jour à l’autre

Nous ensemble Claude Bertrand et Kléber nous rêvions quand il ne le fallait pas

Nous ensemble nous avons rêvé et il ne le fallait pas.

10 commentaires:

arlette a dit…

Ce texte me fait penser à Virginia Woolf ( la vague) comme un souvenir bref sorte de flash

Brigetoun a dit…

salut (et bravo pour l'identification) Arlette - avec Christine Jeanney, l'amie, (oui ça vient d'elle l'idée de la Vague) suis de plus en pauls perdue et Paumée sourions

Dominique Hasselmann a dit…

Ils auront du mal à interdire les rêves… /==/

jeandler a dit…

N'oubliez rien ! bon voyage.

mémoire du silence a dit…

OOOh ! Rêver ! il le faut toujours... toujours...

Brigetoun a dit…

on peut le croire !

Brigetoun a dit…

merci Pierre

Brigetoun a dit…

n"est-il pas ?

cjeanney a dit…

Je n’ai pas vu la vidéo de François qui est à la source du texte, mais c’est très rythmé et corporel l’effet que ça donne

Brigetoun a dit…

merci Christine