La question se pose à chacun. Les pigeons voyageurs exigent hélas une formation "militaire", il reste les "Samizdats" : se replonger dans l'époque Soljenitsyne… :-)
Même question pour moi aussi. Comme c’est récurent, épisodiquement, et que je me sens un peu comme la mouche contre la vitre avec cette question où je me cogne, je me demande si je ne vais pas la ranger dans un placard à bric à brac sans plus jamais la sortir. Et donc, s’il n’y a plus cette question, je pourrais faire comme je veux quand je veux, y être ou pas, y passer ou le fuir et laisser à chaque jour sa pulsion, internet ou pas, beaucoup, peu, ou pas du tout. En fait, je devrais effeuiller une marguerite chaque matin :-)) sans me juger ni m’empoisonner avec ça (j’aimerais bien)
La question se pose à chacun. Les pigeons voyageurs exigent hélas une formation "militaire", il reste les "Samizdats" : se replonger dans l'époque Soljenitsyne… :-)
RépondreSupprimerje manque un peu de foi guerrière pour l'imiter (sourire)
Supprimer🥰
SupprimerHésiter hésiter hésiter
RépondreSupprimerEt persister dans cette hésitation
où tout est possible
...
Demain (sourire)
un peu peur d'être ainsi en effet (sourire en retour)
Supprimerla question se pose inlassablement pour moi aussi...
RépondreSupprimerbeau et bon jour à vous Brigitte
à vous aussi Maria
SupprimerInternet peut enchaîner à domicile, possibilité d’une fenêtre ouverte sur le monde quitte à délaisser la porte ouverte sur la rue.
RépondreSupprimerDésolé pour la signature bien dans ma précipitation.
RépondreSupprimerPierre (sourire au commentaire précédent) le problème est que je DOIS sortir et marcher pour ma circulyion (eu du mal ce matin,, petit vent froid
RépondreSupprimerMême question pour moi aussi. Comme c’est récurent, épisodiquement, et que je me sens un peu comme la mouche contre la vitre avec cette question où je me cogne, je me demande si je ne vais pas la ranger dans un placard à bric à brac sans plus jamais la sortir. Et donc, s’il n’y a plus cette question, je pourrais faire comme je veux quand je veux, y être ou pas, y passer ou le fuir et laisser à chaque jour sa pulsion, internet ou pas, beaucoup, peu, ou pas du tout. En fait, je devrais effeuiller une marguerite chaque matin :-)) sans me juger ni m’empoisonner avec ça (j’aimerais bien)
RépondreSupprimermême point
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