désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération
La question se pose à chacun. Les pigeons voyageurs exigent hélas une formation "militaire", il reste les "Samizdats" : se replonger dans l'époque Soljenitsyne… :-)
Même question pour moi aussi. Comme c’est récurent, épisodiquement, et que je me sens un peu comme la mouche contre la vitre avec cette question où je me cogne, je me demande si je ne vais pas la ranger dans un placard à bric à brac sans plus jamais la sortir. Et donc, s’il n’y a plus cette question, je pourrais faire comme je veux quand je veux, y être ou pas, y passer ou le fuir et laisser à chaque jour sa pulsion, internet ou pas, beaucoup, peu, ou pas du tout. En fait, je devrais effeuiller une marguerite chaque matin :-)) sans me juger ni m’empoisonner avec ça (j’aimerais bien)
12 commentaires:
La question se pose à chacun. Les pigeons voyageurs exigent hélas une formation "militaire", il reste les "Samizdats" : se replonger dans l'époque Soljenitsyne… :-)
Hésiter hésiter hésiter
Et persister dans cette hésitation
où tout est possible
...
Demain (sourire)
la question se pose inlassablement pour moi aussi...
beau et bon jour à vous Brigitte
je manque un peu de foi guerrière pour l'imiter (sourire)
un peu peur d'être ainsi en effet (sourire en retour)
à vous aussi Maria
Internet peut enchaîner à domicile, possibilité d’une fenêtre ouverte sur le monde quitte à délaisser la porte ouverte sur la rue.
Désolé pour la signature bien dans ma précipitation.
Pierre (sourire au commentaire précédent) le problème est que je DOIS sortir et marcher pour ma circulyion (eu du mal ce matin,, petit vent froid
🥰
Même question pour moi aussi. Comme c’est récurent, épisodiquement, et que je me sens un peu comme la mouche contre la vitre avec cette question où je me cogne, je me demande si je ne vais pas la ranger dans un placard à bric à brac sans plus jamais la sortir. Et donc, s’il n’y a plus cette question, je pourrais faire comme je veux quand je veux, y être ou pas, y passer ou le fuir et laisser à chaque jour sa pulsion, internet ou pas, beaucoup, peu, ou pas du tout. En fait, je devrais effeuiller une marguerite chaque matin :-)) sans me juger ni m’empoisonner avec ça (j’aimerais bien)
même point
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