8 juin 25 - pécadilles en deux étapes

 

Départ matin, avec bonnes résolutions et décisions, accomplies vaille que vaille au départ, pour un tour rituel au marché du samedi de la rue Carnot - des photos trop nombreuses prises mais une inconnue rencontrée me dit que dois le faire, qu’elle me suit depuis longtemps pour cela… J’achète une portion qui se révèlera énorme et assez malcommode à manger de paella aux fruits de mer, délicieuse, mais qui, augmentée par des petites courgettes | en ai trop ramené bien entendu | fera que ma balance accuse une prise d’un kilo ce qui me semble peu vraisemblable mais pourquoi n’aurait-elle pas son petit grain de folie comme tais ? Fais rencontres diverses, ma voisine et sa mère, l’inconnue mais aussi un immense et fin malien | qui n’en est peut-être pas un| deux boulangères avec lesquelles se reproduit cette incongruité actuelle : suis trop riche pour payer | absurde mais réel | regagner l’antre et continuer à m’activer pour piètres (nettoyage re-nettoyage, argenterie, vitres ou glaces sans tout faire bien entendu) ou risibles résultats/ Stop Brigitte du moins pour le moment.

Après un beau fort orage, m’en suis allée évitant flaques et flux boueux et d’avantage, pour mon rendez-vous avec faux petit-fils guinéen (j’étais un peu en avance finalement) — bonne ambiance habituelle, entrées, sorties, saluts, sourires, conversations se chevauchant, nous deux refaisant le monde et échangeant des conseils, etc… et ce sera tout pour ce jour.