vie en sourdine
matin calme, souriant
une fraîcheur bleue
pour mon trajet matinal, mais le soir : lâcheté – j'avais prévu de partir vers six heures et demi vers le tout petit théâtre d'une amie derrière le palais pour écouter des clameurs... me suis préparée, ai enfoncé un chapeau sur ma tête, contrôlé que j'avais un masque dans ma poche,
ai descendu l'escalier et me suis trouvée prise dans la clameur du vent, ai baissé le front, suis allée jusqu'à la place, ai vu des êtres jeunes avancer en grimaçant, ai frissonné, trébuché un rien, suis rentrée, me sentant un rien coupable, mais l'acceptant allègrement.
"Culpabilité" ? Laissez l'église demander "pardon" pour des péchés qu'elle a dissimulés depuis des décennies...
RépondreSupprimerLe bleu vaut bien quelques "Ave Maria" ! :-)
j m'étais rendormie en le demandant ce que vous deveniez
RépondreSupprimerMême derrière un masque, rien à dissimuler. Le pardon ici n'est pas de mise.
RépondreSupprimersi, les traits tirés par l"'effort éventuellement (sourire)
RépondreSupprimeraccepter de se sentir coupable,
RépondreSupprimervoilà là une bonne et sage résolution ;-)
Maria, n'est-il pas ?
RépondreSupprimerLe luxe de l'interdit bien au chaud chez soi alors que dehors il novembre, quel délice!
RépondreSupprimeridem aujourd'hui Claudine, mais l'ai payé de housses descendues, housses levées, meubles (deux seulement) déplacés et flemme immense ce soir
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