de l'eau suspendue
dans l'air sur mon visage
la ville humide
Après m'être bagarrée avec les objets, l'antre, ma sottise, ai pris canne et masque et m'en suis allée en quête d'ail, de pain, de quelques chocolats de bon goût, d'oeufs et de pain... en profitant pour passer visiter mes contemporains à Saint Pierre et Saint Didier.
Bobo, un poco, seconde tradition avec les sottises de mes 24 décembre, sieste longue... envisager de poursuivre les traditions, transformer les déplacements de mes bidules pour faire de la place en une crèche féministe
monter sur une table, descendre quatre boites, les vider...
et disposer avec une presqu'apparente désinvolture le petit monde mien, de plus ou moins bonne origine.
Désolée pour ceux qui se seront dérangés pour cela (sourire suppliant).
Que de monde, que de monde en ce lieu !!!
RépondreSupprimerAime beaucoup ceux de la photo n°5
Beau Noël à vous.
J’avais hâte de les revoir. Bon Noël à vous chère Brigitte ✨
RépondreSupprimerMaria, ceux qui n'en sont pas (rire) mais ceux qui sont le plus miens
RépondreSupprimermerci Marie-Christine, et n'ont pas rouspété de n'avoir pas de nouveaux compagnons
RépondreSupprimerMais ça bouge et ça danse beaucoup chez toi
RépondreSupprimerEn espace réduit Arlette (sourire)
RépondreSupprimerQu'ils sont beaux vos santons ! Joyeux Noël Brigitte. Catherine Catimini
RépondreSupprimerça dépend lesquels Catimini, mas les plus humbles ne sont pas les moins aimés (souvenirs)
RépondreSupprimermerci et très bon Noël à vous
Merci pour ces "vies minuscules" provençales.
RépondreSupprimerje les avais reconnus Brigitte, les vôtres. :-)
RépondreSupprimerGodart, ça grouille un tantinet
RépondreSupprimerMaria sourire
RépondreSupprimerSantons sous la pluie (ou les sunlights)...
RépondreSupprimerBelle mise en scène !
Joyeux Noël !!!
merci et joyeux Noël à vous et aux vôtres
RépondreSupprimerLes bras grands ouverts
RépondreSupprimerSes feuilles applatanées
L'Arbre
Le petit peuple à ses pieds
Ces femmes en blanc devant
Les autres colorés cachant
Un clandestin bouquin bedonnant
les bras écartés se sont ceux du "ravi" traditionnel auquel s'ajoute maintenant "une ravie" - le livre bedonnant est une merveille 'Histoires" de Claude Simon
RépondreSupprimerQuant au beau commentaire il est de vous chère amie