Rencontre avec le thème de l'eau sous ciel gris.

 

Sur le billet publié à l'entrée dans ce lundi par Michel Benoît, une photo des Célestins avec, depuis la nef latérale de gauche, une table et une étoffe http://avignon.hautetfort.com/archive/2023/10/16/art-sacra-6466100.html... ai réalisé que le Parcours des arts avait débuté. Ai regardé le programme,

C’est autour de l’eau, ressource rare et menacée mais élément poétique, universel, puissant, inspirant et politique que nous vous convions pour cette 29ème édition.

Ai eu envie d'aller y voir, ai pensé la semaine est un peu trop chargée à partir de demain (faut ménager petite vieille) ça attendra mais comme voulais poser un orteil sir le parcours, que le lundi toutes les expositions sont fermées mais que je lisais :

Et pour la première fois, nous organisons une résidence d’artiste. Croyant à la puissance de l’art et aux forces collaboratives des acteurices du territoire pour créer du lien et faire sens, les fresques originales de cette première résidence seront à découvrir sur les murs de la cité. J'ai cliqué, ouvert la page « les fresques du collectif Aorte »,https://www.parcoursdelart.com/aorte lu Le collectif Aorte est la première résidence artistique du Parcours de l’Art. Jean-Dominique Ferrucci et Michel Lauricella ont travaillé sur le thème de l’eau en lien avec leurs recherches habituelles, la relation de l’humain au vivant qu’il soit animal ou végétal. Leur ressenti de la ville d’Avignon les a amené à enrichir cette proposition par le mélange de sacré et de trivialité. Le dialogue subtil de leurs fresques avec l’urbain investit les recoins du centre historique. Regardé le plan et fait une minuscule détour sur mon chemin vers yaourts et autres broutilles pour passer par deux des emplacements qu'ils ont choisi,

enfilant depuis les remparts le passage de l'Oratoire en croisant les touristes qui regagnaient leur bateau, ne voyant rien

jusqu'à découvrir, juste un peu avant son débouché sur la rue Vernet, grande et discrète, cette apparition...

Et du coup, ai eu envie de voir l'exposition, devant laquelle je passais depuis quelques jours avec autres idées en tête qu'abrite l'Oratoire – durée calquée sur celle du Parcours et, je l'ai découvert en y passant le nez, puis les jambes, les yeux et l'attention, en résonance avec son thème...

exposition de Virginie Devin, dont j'ai plutôt aimé les œuvres et leur côté bijoux barbares et d'Angelo Douiller, peintre, que j'ai moins apprécié.

Quant au Collectif Aorte, l'ai retrouvé, avec plaisir, dans l'étroite rue des Ortolans, s'encadrant parfaitement dans un vieux mur et j'ai continué avec l'ébauche de rêve de cette vision.