Mise en train lente et attentionnée (sourire) de carcasse un rien moulue au réveil, et départ qui devient rituel, à pas mesurés, vers le marché de la rue Carnot et des Carmes dans un air presque figé et sous un ciel d’un bleu rayonnant.
Marche un peu floue entre les étals plus rares et moins fournis… esprit à la recherche d’idées pour l’atelier (très très vaguement…), achat de pain au petit épeautre, trop grand et un rien cher… assise pour mettre de l’ordre dans mon sac sur un banc partagé avec un couple presque de mon âge près de cette boulangerie recommandée mais qui n’est pas pour moi, leur en ai offert une moitié après échange de plaisanteries… et suis partie plus légère ajoutant au passage dans le sac grosses carottes de couleurs, radis vert, navets anciens et panais
et suis passée rapidement par les halles qui étaient d’humeur joyeuse et débordaient de nourritures de fête, pour un quart de tranche de thon rouge et des petites poires.
Retour et journée honteusement oisive (sieste, écoute de Didier Sandre lisant La Bruyère et podcasts de France Culture consacrés à la chère Hildegarde de Bingen…) Désolée, Paumée et moi n’avons rien de plus intéressant que voulions dire.
6 commentaires:
J'ai été voir sa maison cet été, au dessus des vignes. Bises de Beggen
un joli moment je suppose Claudine - bone journée à vous
Faites quelques provisions de confiserie en plus !… :-)
Partager son pain ...cela n'est pas rien.... ;-) :-)
moi toujours ! des plus raffinées prévues pour ce soir si cheveux secs à temps ou demain dans la cour d"honneur ouverte aux avignonnais avec un marché douceurs (y compris huile, sourire)
des gens intelligents qui l'ont pris avec humour... très grand le pain ça m'évitais d'en jeter (pas terrible en plus, boulangerie essayée, pas aimable de surcroit, fait; n'y retournerai pas)
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