En ce jour m’en suis allée dans les rues, renonçant à comprendre le monde et le fonctionnement d’internet avec un résultat pour le moins mitigé… Je vais d’étonnement en ahurissement avec mon brio natif… vais arrêter (ou le tenter) de vous ennuyer avec cela continuons... Par contre vais poser ici, en cascade, les images prises lors de mon cheminement avec quelques commentaires
pour Piero Cohen Hadria en clin d'oeil s'il passe ici
pour rester dans un rêve
parce que le bleu allait avec le vent
pour le jeu encore une fois de l’ombre et la lumière
et parce que les sauvageonnes urbaines s’accommodent d’environnement dégradé
juste parce qu’il y avait un coin de rue
et parce que je passais par la place Saint Didier
juste parce qu’évidente
parce qu’Avignon superpose les traces du passé
parce que j’ai repris le chemin de l’antre, que je vais en rester là (audacieusement je vous félicite pour votre patience et je vous remercie de me pardonner).
10 commentaires:
Quand un rêve passe, c'est beau. :-)
n'est ce pas Dominique ?
Je veux bien
rester dans le rêve
entre ombre et lumière
d'un ciel bleu
une évidence
Promenade légère à l’image des robes printanières.
grand merci pour cette lecture de cette pauvre chose, Maria ... ('rire)
avec lesquelles le vent s'amuse, Pierre
ah ce tronc d’arbre ! (c’est là que je réalise qu’il n’y en a pas du tout des comme ça chez moi, surtout avec l’air gorgé de bleu autour)
Christine tu ne peux pas avoir ma sottise et ma maladresse... il m'a fallu 85 ans je me mélange les pattes mais ça doit être ça) de persistance pour cela
Les sauvageonnes follettes sont tes sœurs en résistance
NOS soeurs Arlette (et bravo à toi)
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