Avec le ciel blanc dans les yeux
Les genoux et le crâne flous
Esprit et corps de temps trop vieux
Avec le ciel blanc dans les yeux
Mais dans l'après-midi aux cieux
Vent avait barraté le flou
Guéris me furent par les yeux
Les genoux et le crâne flou
Puisque bientôt ne pourrais plus nourrir ainsi Paumée, l'avant dernier (puisque le 39 est et restera secret) des petits textes pour les carnets du tiers livre posté le 17 décembre de l'an 2022 (#38 / matériaux rêve)
Pourquoi ne puis-je persuader que je ne rêve pas ou du moins que j'oublie ? Que sans doute je me l'interdis, par crainte un peu, ou parce que cela plonge trop en moi ? Que la seule trace c'est cette sensation de tomber durement mais presqu'avec soulagement certains jours dans le réveil avec pourtant le désir de prolonger cet état. Quant à m'efforcer de rêver et garder trace cela me gâcherait l'abandon. Je me revenche en rêvant mes jours autant que les autres me le permettent.
Rêver ses jours, vaste programme, une façon de vivre en double sa journée.
RépondreSupprimerLe ciel influence nos pensées ...
RépondreSupprimerplus avec les carnets,mais avec les deux voyages,peut-être -vous y allez? moi je ne crois pas (sauf pour vous accompagner) - avec mes vœux renouvelés P
RépondreSupprimerCiel de rêve permettant à l'esprit de galoper... ;-)
RépondreSupprimerGodart, l'ennui c'est de voir mes souvenirs contestés par les proches (sourire)
RépondreSupprimerArlette, oui j'ai un cité animal
RépondreSupprimerpour les deux voyages mes intentions sont fluctuantes (pour tout en fait actuellement)
RépondreSupprimerciel spectacle qui m'occupait
RépondreSupprimercomme un penseur
RépondreSupprimerqui s'octroie le droit de rêver
J'aime beaucoup les genoux sauvés par les yeux
RépondreSupprimerMaria, oui 'même si un penseur c'est trop pour moi, mais m'y efforce)
RépondreSupprimerZoé les genoux ne le l'int pas dit, trop occupés à fonctionner, mais je crois qu'ils sont aimé aussi
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