Les yeux éblouis
le corps blotti un peu trop
en parka chaude
avancer en répétant
nous sommes début janvier
s'en persuader comme se persuader d'être pierre dorée ou animal endormi, sans pensée autre. Et pendant qu'il y en a encore, je recopie ma contribution du 14 décembre (#35 / la panne, l'embrouille)
une lune de charbon, le torrent fleurit, ces mots au sens caché du réveil, je les déguste comme de bonbons imprévus, cadeaux à oublier et qui me resteront énigmatiques... mais quand il s'agit de phrases incongrues qui me viennent en public ou par écrit, pleines de sens mais qui ne se disent pas, j'ai presque appris à ne les formuler que volontairement... quant aux nombreuses évasions de mots et noms ne veux m'y attarder, craignant à mon âge leur cause... y pallie, remplace.
Les mots parfois s'échappent..sortis d'un inconscient révélateur chut!!!@
RépondreSupprimeret ils m'échappaient déjà quand étais jeune... ai un peu peur devnt leur débandade
RépondreSupprimerVous semblez en forme, avec ce sourire plein de sous-entendus... :-)
RépondreSupprimerai supprimé maladroitement le commentaire de Mémoire du Monde
RépondreSupprimer"Les jours passent s'en vont comme les mots les noms ... une histoire sans fi"
auquel je réponds
oui Maria et quand n'y avait déjà gère de mémoire dans la jeunesse et j'oublie de regarder
Dominique : mais la photo a six ou sept ans et depuis ai vieilli surtout cet été malheureusement , suis pire, et mes yeux cachent leur malice, le visage s'est alourdi etc... la bouche est restée (sourire)
RépondreSupprimerEt....ce petit air malicieux
RépondreSupprimersept ou huit ans de moins (sourire)
RépondreSupprimer