Il y avait le vent, il y avait eu son chant se réveillant dans la nuit, il y avait le vent fouettant les branches du laurier sur la terrasse du dessus au réveil, il y avait le vent secouant la porte fenêtre, la météo disait 50 km/h avec rafales à 100, je pensais 100 km/h avec quelques reprises de souffle à 50.
Il y avait ma vérité du vent et le bruit qu'il faisait.
Il y avait ma vieille compagne solitude qui était revenue me dire du mal, il y avait des yeux qui descendaient, il y avait être au bord des vies.
Il y avait ma sottise et ma lâcheté.
Il y avait trouver beau le mot de langueur.
Il y a eu se raffermir assez pour écrire les voyages, il y a eu une indulgence stupide pour dire ça sera comme ça et publier.
Il y a eu se dire tant pis pour ce que pensais aller chercher, ce n'est pas indispensable.
Il y a eu se dire vais faire des détours pour aller au Chêne noir, il suffit d'éviter rues qui montent directement et la Peyrolerie. Il y a eu sortir pantalon dame et chandail ok. Il ya eu se dire j'en profiterai pour racheter des cigarillos en ai besoin.
Il y avait le vent, et les bras qui ne voulaient plus, les jambes non plus, et le vide de la paresse et de la lâcheté.
Il y a eu ranger pantalon et chandail, se dire mañana pour tout y compris cigarillos.
Il y a eu se dire devrait fermer Paumée le pauvret. Il y a eu se mépriser confortablement et laisser la nuit venir.
Et pour ce qui aurait dû être au bout du chemin le soir, il y a ce teaser.
Beau spectacle... il est bien d'oser. ;-)
RépondreSupprimer3,6,9 jours ou 1 mois, le mistral semble parti pour cette dernière durée.
RépondreSupprimersavoir dire non, nous guérit de la colère...
RépondreSupprimermerci pour votre passage Maria
RépondreSupprimerça n'a été que partie remise - bonne promenade - et merci pour le commentaire du voyage #3 - (et tous les autres, merci) - prenez garde à ne pas sortir et voir le monde - avec mon amitié PCH/dB
RépondreSupprimerle vent a un peu molli et il faudrait vraiment que je sorte...
RépondreSupprimermerci pour votre passage
Té Godart ! (votre commentaire s'était perdu, viens de le trouver) parlez pas de malheur !
RépondreSupprimerNon mais
RépondreSupprimerClaudine, si, un temps
RépondreSupprimeron verra si ça s'améliore, il semble