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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

lundi, février 10, 2025

Ce dimanche

 


Au matin un ciel

d’un lumineux bleu profond

puis cieux trop peuplés





Avant que se tourne la page de mon agenda, la dame qui sur l’estampe de Tsuchiya Koitsu veillait sur ma semaine me jette par dessus son épaule « ce n’est pas digne d’un haïku »,  je m’incline les mains jointes, je lui répond « sans doute pas, en effet » et lui demande de bien vouloir m’en excuser, je me redresse et j’annonce que j’ai besoin ou envie d’un tout petit réglage et que Paumée est fermé jusqu’à jeudi je pense ; pour le nourrir en attendant je recopie ma contribution au #12 de l’atelier que je suivais de François Bon


Les livres partis pour Ginnasservis


En 2018 lorsque Pierre Derose, l’ancien fleuriste qui tenait la boutique depuis près de quarante ans prit sa retraite et partit s’installer à Ginasservis dans la villa qu’il avait acheté au centre d’un grand terrain en légère pente qui faisait la joie de sa femme Marguerite laquelle y avait créé, enrichit, peaufiné depuis dix ans un merveilleux jardin méditerranéen avec l’aide d’un jeune passionné chargé de son entretien et, hors les périodes de vacances où elle pouvait quitter la boutique dont elle assurait la bonne marche, de la recherche de nouveaux plants rares et des terrassements pour modeler le paysage sous sa direction grâce à un incessant échange de courrier, le problème furent les livres depuis longtemps sa seule passion à lui, son seul intérêt au point d’avoir peu à peu introduit depuis le noyau constitué dans une bonne partie de ce qu’elle appelait son laboratoire, réserve de plantes dans lequel elle créait bouquets, couronnes ou coussins mortuaires et garnitures de salles et tables de fêtes, des rayonnages garnis de livres doublant tous les murs de la boutique qui fascinaient de plus en plus d’amateurs, en en faisant un mixte devenu célèbre entre fleuriste comme l’indiquait l’enseigne, le grand comptoir et les présentoirs entre lesquels circulaient les clients et de bibliothèque où enfants et adultes parfois venus d’assez loin venaient emprunter des livres contre un émargement dans des cahiers rangés dans un tiroir de l’arrière boutique ou la lecture dans un des fauteuils installés dans un coin derrière un rempart de rosiers, bégonias et autres plantes. Déclarant qu’il en était lassé et, que puisque nouvelle vie allait avoir elle serait consacrée à sa vraie vocation la cuisine et il répartit entre la bibliothèque municipale, celle que créa Madame Bourgeois, leur voisine, la locataire du bâtiments d’un seul étage bornant deux des côtés de la cour dans l’école où elle professait avant de la diriger, le reste étant emporté gratuitement par un bouquiniste. Il ne garda à titre de souvenir qu’un échantillonnage, choisissant de prélever pour chaque lettre de l’alphabet le nom d’un auteur représenté par un seul titre, soit

« Dix-huit leçons sur la société industrielle » de Raymond Aron ;

« La Prochaine Fois, le feu » de James Balwin ;

« Si par une nuit d’huiver » d’Italo Calvino ;

« Apocalypse Bébé » de Virginie Despentes ;

« Causes amusantes et connues » de Robert Estienne ;

« Histoire de Tom Jones, enfant trouvé » d’Henry Fielding ;

« Le Déserteur » de Jean Giono ;

« Rome impériale et l’urbanisme dans l’antiquité » de Léon Home ;

« La Salamandre » de Masuji Ibuse ;

« Chapelle ardente » de Jacques Josse ;

« Le dîner » d’Herman Koch ;

« Haut-mal » de Michel Leiris ;

« L’Homère travesti, ou L’Iliade en vers burlesques » de Pierre Carlet de Marivaux ;

« Trilby ou le lutin d’Argall » de Charles Nodier ;

« Volonté » de Georges Ohnet ;

« Canzoniere » de François Pétrarque ;

« Petite Cosmogonie portative » de Raymond Queneau ;

« Le vue » de Raymond Roussel ;

« Pauvre Blaise » de la Comtesse de Ségur ;

« Anachronisme » de Christophe Tarkos ;

 « Rues de la forêt belle » d’André Ughetto ;

« Les chiens errants n’ont pas besoin de capuche de Thomas Vinau ;

« Poèmes » de Romain Weingarten ;

« L’Hypparque » de Xénophon ;

« Douze nuits au sérail » de Yannis Youlount

dimanche, février 09, 2025

Derniers pas dans Flux65 et Fado dans la nuit



Pluie froide dans le jour, pas une grande forme, en suis restée à petite bagarre avec objets, carcasse et ordinateur.. aux derniers pas aussi dans le second étage du Cloître Saint Louis avec



le totem (le baptise ainsi, le vrai titre est « DZYLELYA ») de Catrin Cieslok  qui vit à Avignon (mais dont le blog est en anglais et ne porte que sur des oeuvres en deux dimensions) « J’analyse l’espace, les lignes et courbes ou encore la lumière et les ombres, les moments instantanés aussi…Très souvent, je capte ces instants avec ma camera ou mon téléphone, ces images sont des ‘techno-images’ (selon Villèm Flusser). Je tiens à les ré-interpréter en utilisant des techniques picturales classiques, comme le pastel, l’acrylique, l’encre etc. ; en procédant ainsi je reste dans ma créativité et dans mon être ‘le code source’… » 



entre deux fenêtres, « ondulation organisme Sylva » huile sur toile de Sylve Dauchet - « Le chemin est clair ne jamais enfermer l'idée. La construction s'étage : de la finesse de départ longuement travaillée à l'épaisseur de la finition les différents mots du ” livre” que je suis en train de peindre se succèdent dans une évidence picturale entre conscience et inconscience. Le parfait n'existe pas, ce qui l’est c'est sa recherche. Peindre énergie personnelle et intime, dont la source en est toujours la beauté d'une rencontre des yeux et du cœur… »



venant du couloir, passant sous une arcade pur venir se poser au sol de la salle, le long ruban de toile d’Erika Thomas « Tu ne tueras pas la vie tu défendras » et ses inscriptions |acrylique et feutres|  en grosses lettres (au verso ne sont que les mots en caractères latins de cette formule-titre-voeux)  - « Mon travail est orienté sur la retranscription, la garde ou l’oubli, voire le déni de la mémoire. Que faisons nous de ce qui nous est transmis? Que gardons nous? Que voulons nous transmettre à notre tour? »… « une base d’huile ou d’acrylique et passages de couches de pigments bruts. Les couches successives de couleurs et de densités de matières différentes vont être retravaillées pendant et après séchage pour être recouvertes d’autres, la matière va donc « monter » se craqueler, se fissurer, révélant des strates de couleur emprisonnées en profondeur. »



Le long bandeau « Horizons » de Corinne Mariotte  (technique mixte) - « spécialisée dans le dessin et la gravure, basée à Marseille. Au fil des années, j'ai développé une œuvre discrète, oscillant entre réalité et univers onirique. Mon expression artistique, principalement axée sur le dessin, a pris une nouvelle orientation avec des pratiques sur papier, telles que l'encre, le pastel, l'aquarelle et la gravure. »



la bande verticale d’Anne Paturel-Saget « Voyage » (papier - encres) - « Je vois la gravure comme un moyen d’expression : faire évoluer la force expressive du trait, jouer sur les encrages, utiliser les variations et garder une trace des passages…. La peinture et le dessin sont les alliés indispensables à mes recherches. Les trois techniques s’entremêlent et tissent des liaisons improbables ou au contraire pérennes.. »



avant la dernière des fenêtres sur rue, les deux chutes sombres (que j’ai aimées) de « Délier le temps » (papier, encre, cendre, végétaux) de Catherine Romanin - «Il y a quelques années, je réalisais de grands portraits dans lesquels le geste, la ligne, les traces de l’encre représentaient mais dans le même temps faisaient disparaître la figure.Actuellement, tout en étant encore fortement présents, ces éléments jouent avec la matière/papier qui donne chair mais masque  les formes du visage pour l’orienter ainsi davantage vers une abstraction que je nomme paysage. »



un peu en avant du mur du fond, sur gun socle devant l’arcade vers le couloir, « Lierre » de Bernard Fossen (bois) - « Dessinateur, sculpteur, animateur, batifoleur, marcheur, amoureux de la nature. Attiré par les formes étranges et bizarres des végétaux, du bois, et des minéraux, il se les approprie et leur donne une nouvelle vie. »



et sur le mur du fond le polyptyque en forme de croix « l’oracle du flux » (peinture àl’huile) d’Agathe Idalie - « Redéfinitions, ruptures – ce qui s’est imposé sur la toile ne peut être qu’un avènement provisoire dont il faudra s’extraire pour perpétuer le vivant du chemin. La peinture est lyrique : elle chante l’accueil du présent recomposé. Elle est morale: elle dénonce les faux-semblants, elle bouscule les figements. C’est pour moi un art sacré: parachever, rejouer l’incarnation, se « réoriginer »



toujours dans la salle, entre deux arcades, « Equilibre précaire » (bois, sable collé, encres) de François Tardy - « Maçon depuis 1980 je me suis orienté vers la décoration intérieure ; je réalise des enduits décoratifs, des peintures murales chez des particuliers. Depuis 1989 je peins des tableaux sur bois ou sur papier avec des matériaux utilisés dans le bâtiment (colle, plâtre, sable, cire, pigments, bitume), dans lesquels on retrouve étirements et incisions, signes et traces, en un langage mêlant forme et couleur, jeu interactif entre l’aléatoire et le maîtrisé. »



et « les 64 hexagrammes du Yi-King » (encre sur papier de mûrier) de Lydie Toran — malgré l’assez épais livret osé sur une table sous l’arcade n’y ai pas compris grand chose, sauf que l’utilisation de ce texte  inspiré du « Livre des transformations » de Cyrille  J.D. Savavary et Pierre Faure était libre pendant le temps de l’expositon) - « Mon travail est le sumi e sur papier de riz ou de mûrier. En coréen sumi e signifie encre et eau. L’encre est une forme d’écriture convoquant tout le corps dans sa conscience d’être au monde. Les pinceaux, les papiers, les pigments et les pierres utilisées pour le tracé des bambous ou des cercles que je réalise depuis plusieurs décennies sont d’origine végétale et minérale : leur texture, leur fibre et leurs odeurs dégagent une vibration de la Terre donnant de sa présence au travail qui s’accomplit dans le cours du mouvement. Si le mouvement ne se présente pas les traces à l’encre ne peuvent avoir lieu. Parfois il passe aussi naturellement que le temps laissant son empreinte sous la forme d’un langage dont les signes graphiques sont identiques à ceux de l’écriture numérique faite aussi de cercles et de traits. Toute la saveur de cette pratique ancestrale se situe dans l’interstice entre maîtrise de la technique et laisser aller du mouvement. »



Mes dernières photos reproduisent des oeuvres accrochées dans le couloir, et n’ai trouvé que fort peu ou pas de renseignements

« Vision d’Enclade »  (peinture acrylique sur toile) d’Armel Kerrest



« Quintessence de l’humanité » (technique mixte - ou collage - sur papier) de Michka Anceau



« Long Island » (dessin) de Jean-Pierre Zorrilla « Mes dessins se situent dans un univers post apocalypse .Je décrit souvent la vie après une catastrophe ayant détruit la civilisation telle que on la connaît actuellement ,dans le chaos et la confusion qui en découle je dessine des confrontations inattendues entre des acteurs improbables .Pour moi il en résulte qu’un nouveau départ est impératif la civilisation actuelle court à sa perte »



« L’aigle noir » (peinture acrylique) de Julie Colette Guille (n’ai trouvé qu’un article du Dauphiné libéré annonçant en novembre 2022 l’ouverture de son atelier à Carpentras)




et j’en suis arrivée à cette dernière au moment de me changer rapidement pour partir bataillant avec parapluie, canne, sac glissant sur mon épaule et appareil photo pleine de curiosité parce que j’avaus vu sur la petite bande annonce que ce Bate-Fado était nn seulement un spectacle de troupe très mis en scène  et tournant de lieu en lieu, ce que je fuis d’ordinaire,  mais d’un esprit très différent et assez ébouriffant des profondes déplorations d’Amalia Rodriguez et autres.. et puis il y avait cette présentation

« Chorégraphes et performeurs portugais parmi les plus inventifs de leur génération, Jonas&Lander se sont imposés sur les scènes internationales avec des créations hybrides aux accents très musicaux et qui explorent la fusion des arts de la scène. Cette pièce étonnante nous transporte au 19e siècle à Lisbonne où le fado alors appelé le Fado Batido ou Fado battu avait sa propre gestuelle inspirée d’une danse à claquettes énergique et virtuose.

Quatre danseurs et danseuses, quatre musiciens et un chanteur de fado à la voix déchirante redonnent vie et réactualisent cette danse traditionnelle. D’une grande modernité ce spectacle hybride, entre danse et concert est à la fois puissant et généreux. Une traversée sensuelle, chorégraphique et musicale »





Bon ça attire davantage que la musique de chambre et je n’avais pu avoir qu’une place au deuxième rang du troisième balcon ce qui m’a contrainte à une tension mêlée de souplesse très dans la note pour négocier avec le crâne juste un peu trop haut de l’aimable bonhomme assis au rang du dessous, mais ça allait… et le spectacle tenait largement, d’autant que ma voisine vibrait discrètement, les promesses de ces phrases.



samedi, février 08, 2025

Ville humide et suite de Flux

 


Le bleu s’est voilé

et entre deux averses

je m’en suis allée

pour une courte marche.

Trouvé en rentrant Fragments




à ajouter aux souvenirs d’une fleur, de quelques oeuvres de Thierry France-Pey, de miroirs de sorcière rencontré en chemin, des fragments beaux et tristes (sous le titre de Lisières, venus de Laurent Margantin l’ami de l’île lointaine…



Me suis assise devant l’ordinateur avec iPhoto et j’ai entrepris d’enregistrer et de légender ici les heures captées au deuxième étage du Cloître Saint Louis




Avec, à côté de l’entrée dans la salle, une gouache et aquarelle « Le jardin du Paradis » de Mahtab « J'admire au plus profond de moi les maîtres de la renaissance, ainsi que les grands miniaturistes Iraniens »



et, presqu’en face, à cet de la première arcade sur la grande salle, une petite huile sur papier d’U-Got « L’objectif fixé par Avignon Ateliers d’Artistes pour l’exposition Flux 65 était d’évoquer l’énergie, le déplacement, le mouvement amplifié par le nombre Afin d’illustrer au plus près cette proposition, j’ai imaginé une grande vague de météorites déferlant du fin fond de la galaxie tel un tsunami »



En avançant toujours dans le couloir, les couleurs et la facture de « La planche de salut » (laque glycérophtalique) de -Durdica… ai trouvé dans un article de Jeanine Rivais « …chaque fois… une œuvre de longue haleine, chaque plage où elle a déposé la laque devant sécher pendant vingt-quatre heures, avant de pouvoir poser celle qui lui sera contiguë. Chaque création nécessitant ainsi plusieurs semaines d'un travail de patience !… »



et, de Béatrice Lemercier un diptyque « Murmuration » (encre, gaufrage) « Un geste, comme une écriture, qui me permet de m’exprimer sans mot, dans le silence. Face à ma feuille de papier tout se joue dans l’instant présent, parfois avec un thème en tête, que j’essaie de décliner sur différents formats, de diverses manières… »



« Jours noirs, nuits blanches «  de Maya « Je travaille à partir de papiers de magazines que je déchire, froisse, décolore, détrempe, peins, triture, ou de papiers de calligraphie que je trempe dans des encres opaques ou transparentes.

Mes supports sont des toiles que je tends et peins à l’acrylique ou avec des pigments, des papiers que je fabrique, des plaques de métal rouillé, du bois marouflé… »



entrant dans la grande salle, plaisir de trouver un mur occupé par des petits dessins d’ Amélie Joos, souvent rencontrés dans les expositions de groupe avignonnaise (dégringolez un peu sur son blog pour le plaisir malicieux de sa vision) née en Allemagne,  vit et travaille à Avignon



J’ai aimé, dans la salle, l’envol solide de « volée 3 » (terre cuite patinée) de Joël Lemercier - « On peut considérer qu’il y a trois types de sculpteurs : le modeleur, le tailleur et l’assembleur. Le modeleur construit son monde autour de lui à partir d’un noyau d’argile. Le tailleur va chercher ce qu’il y a à l’intérieur, il doit «creuser la question».  L’assembleur réunit dans une nouvelle architecture, les morceaux au départ éparpillés. Ces démarches se complètent comme les phases d’une respiration:  l’inspire et l’expire, vers l’intérieur, vers l’extérieur. Le souffle vital.

Pour réaliser mes créations je mets en oeuvre ces trois mouvements, veillant avant tout à la simplicité des formes, à la précision des lignes. C’est une recherche, un travail pour tenter de se rapprocher un petit peu de cette réflexion de Constantin Brancusi : «Ce n’est pas l’oiseau que je sculpte, mais le vol….»



de Danièle Fabre, une aquarelle « El pueblo unido jamas sera vincido » - « Patiemment, avec humilité, j’ai apprivoisé l’aquarelle en autodidacte depuis de longues années. Le jeu de l’eau, la douceur et la force possibles de ses pigments, m’ont aidée à aller vers une peinture que j’espère être empreinte d’émotion, d’humanité. Je peins des sujets qui me touchent pour ce que j’ai à dire de leur histoire et de l’écho qu’elle a en moi, j’ai besoin d’avoir une intimité certaine avec eux, quelque chose en commun.

Comme beaucoup d’artiste je crée dans la solitude exquise et assumée de mon atelier dans ces moments-là, mais pour autant les échos du monde y entrent et influencent parfois ma peinture… »



entre deux fenêtres une très grande terre cuite de Béatrice Gillmann  « Emergence » sur laquelle (l’auteur) n’ai trouvé aucun renseignement



à côté,  « Pontos » photo graphique de Marie-Noelle Tourtet dans laquelle ai mis un moment pour trouver le visage dont me parlait l’artiste de garde - « L’usage de la photographie permet de prélever un élément particulier de l’environnement ou du prétexte choisi, un élément retenu parce qu’il s’inscrit ou résiste avec évidence au propos que je suis amenée à élaborer. Il déclenche alors de la matière à dessiner qui revisite l

À partir de prises de vue, renvoyant à une intervention graphique, interrogeant le paysage dans ses limites, sa topographie, sa littérature, ses repères historiques et actuels »



suis passée du plaisir distrait à un intérêt joyeux avec « Supper-flux » boites de carton sérigraphiées  supportant un tout petit personnage-oiseau de B2D2 (ou Daniel Benguigui)



Étendue au sol à côté d’une fenêtre une « Ophélie » (céramique, bois, filet) de Françoise Subra que j’ai trouvé sur le catalogue d’une exposition à Eygalière, apprenant ainsi qu’elle fait partie des artistes travaillant à l’atelier Marie Laurencin à Montfavet et qu’après la terre cuite elle est passée à des matériaux plus légers fils de fer, bois flottés, papier et ce qu’elle glane en se promenant.


Il en reste mais après bataille avec mes mains, les lubies de blogger et moult interruptions extérieures ou internes à mon ceerveau, en reste là… fin demain ou après-demain ou les deux, on verra.