"Il invite le public à un voyage musical, ludique et poétique. Paré de sa voix, de trois boîtiers enregistreurs et de quelques accessoires, il est seul sur scène, mais il semble plusieurs à se dresser devant nous. Il construit, au fil de son histoire, qui devient peu à peu la nôtre, un paysage sonore d'ici et d'ailleurs. "Je suis une ferme, je suis le ressac, je suis un cow boy, je suis la jungle, je suis le village rassemblé le soir autour des souvenirs des anciens..." KHALID K
et; cette page, trouvée au cours d'une très brève recherche avant de partir, http://www.loreilleenfeu.fr/archive/2009/01/15/khalid-k-bruiteur-chanteur-musicien-conteur.html (d'où provient cette photo)

J'ai trouvé, en émergeant pendant que le soir tombait, plusieurs vidéos de Khalid K sur myspace, dont celle ci qui reprend plusieurs moments (il en manque de très bons qui sont peut-être sur les autres) du spectacle http://vids.myspace.com/index.cfm?fuseaction=vids.individual&VideoID=34293796
J'ai finalement, le soir descendant, repris "le verbe" dans "Interzone" de Burroughs
"Alors je rameute mes vieux potes et on passe de chouettes soirées à écouter la machine à laver nous seriner Sweet and Low et Lessiveuses's Boogie ; et la sinistre écrémeuse, vivant fossile, aussi aigrie que du beurre de yak rance, cavale après l'aspi; feulant tel en léopard. La banlieue renferme assez d'horreurs pour rassasier un millier de castrats..." (passage tout public)

"et pour le dessert
é goiabada cascao com muito queijo,
une goiabada avec beaucoup de fromage
dépois café, cigarro é um beijo
de uma mulata chamada ..
et après le café une cigarette et un baiser
d'une mulâtre qui s'appelle
Léonore ou Dagmar...
les oubliés
ils ont des rêves
d'enfants
l'enfer est vert."
je m'installe devant "Falstaff" de Verdi.