Morbleu, ma doué, miel d'abeille ! toujours aussi sotte.
J'ai réalisé à 10 heures du soir que c'était bien lundi 5 février que j'étais censée aller au Tinel de la Chartreuse (une photo de ladite par ma petite soeur) assister à une représentation de
Pourquoi mes frères et moi on est parti
pièce écrite l'année dernière en résidence par Hédi Tillette de Clermont-Tonnerre pour et en collaboration avec les comédiens dirigés par Vincent Primault
Je lis : Dali, Mo, Taco et Nour sont quatre frères.
C'est là-bas qu'ils veulent aller car rester ici c'est mourir avant d'avoir eu le temps de vivre. Tous les quatre nous entraînent dans un tourbillon d'optimisme et de dérision. Leur vitalité est contagieuse. Une vision toute personnelle de la famille, du sens de l'histoire et de l'absurde de notre société. Une partition riche d'humanité, véritable machine à jouer.
Je me demande si je vais en rêver. C'est un joli programme.
En attendant j'ai vu un fort bon documentaire de la télévision canadienne "le bien commun", bien fait, avec de très belles images, mais qui a réveillé ma colère et un certain désarroi rageur devant les risques que représentent les tentatives pour breveter les gênes. Je n'ai pas bien noté l'adresse mais on peut aller sur Google - plus - de là : vidéo et entrer "le bien commun" - un peu plus d'une heure et une humeur combative à la fin.