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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

lundi, juillet 14, 2025

14ème de juillet – lavage de cheveux et après cafouillages juste le principal En attendant Godot au théâtre des halles



Lavage de cheveux dimanche matin selon vieilles habitudes et comme j'avais décidé que « En attendant Godot » au théâtre des halles à 21 heures serait mon cadeau d'anniversaire, j'ai cherché un spectacle à voir auparavant et me suis décidée pour « Elles disent l'Odyssée » de Jean-Luc Lagarce tout à côté au théâtre du Roi René pouvait ête tentant d'autant que cela débutait à 18 heures 30 me laissant juste un moment agréable pour un café glaccé dans le jardin de Sainte Claire (théâtre des Halles).. impatiente et de peur de me rendormir après ma sieste suis partie un peu trop tôt, ai fait durer une orange pressée place du Change, ai tourné dans le quartier pour amoindrir cette avance stupide


et j'ai abordé le Roi René pour apprendre que dans mon désir de cet horaire m'offrant une pause raisonnable entre spectacles j'avais mal lu et que la pièce commençait à 17 heures 30.. ai pensé tant pis...


Suis arrivée au théâtre des halles avec trois heures d'avance, ai dégusté mon café glacé en changeant de place, plongée dans « le Tramway » que j'avais mis dans mon sac pour meubler l'attente que j'envisageais... changeant de place suivant la population du jardin au gré des attentes pour les spectacles, un peu gênée un temps par les rires du spectacle que j'avais bien aimé mais trouvé un peu trop long (échangé, pendant un des moments où elle n'était pas sur scène, quelques mots avec la clownesse qui m'avait surtout amusé ) et quinze pages avant la fin (en comprenant la postface) suis entrée dans la salle du Chapitre pour m'installer au premier rang et assister enfin à l'attente de Godot dans une mise en scène de Jacques Osinski 


« Pour clore en beauté son cycle Beckett, Jacques Osinski retrouve Denis Lavant rejoint par Jacques Bonnaffé, Aurélien Recoing et Jean-François Lapalus pour la plus célèbre pièce de l’auteur : En attendant Godot. Sur scène, un arbre sans feuilles. À ses pieds, un homme : Estragon. Entre un autre homme : Vladimir. Ils attendent Godot… Ils ne le connaissent pas mais l’attendent comme un sauveur. Aucun ne sait au juste de quoi ce mystérieux personnage doit les sauver, si ce n’est peut-être, justement, de l’horrible attente. »

et ma foi, malgré le réveil des conséquences (crispations intestinales, désolée je sais que ça ne se dit pas) de l'opération ayant guéri mon cancer et malgré l'endormissement sur moi ou sur son autre voisine de la jeune femme bien en chair que noous encadrions, j'ai tenu et j'ai aimé la pièce, bien entendu, la mise en scène, l'interprétation.

2 commentaires:

arlette a dit…

Cette attente...intemporelle
Ravie pour toi de ta soirée

Brigetoun a dit…

merci Arlette et bonne journée à toi (me fais programme du jour un peu dn le bleu)