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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

mardi, juin 22, 2010


Ce jourd'hui, en pays mien,
et dans d'autres, me dit-on,
avions droit de lancer sons
pour fêter la musique

Sans violons, sans sitars,
choeurs passionnés, justes ou non,
j'ai laissé la gloire au vent,
ce jourd'hui, en pays mien.

Me plaisent simples chansons,
grégorien, ventre en jazz,
mais trop maussade j'étais
pour aller en compagnie.

Brute suis, n'avais désir
de m'éjouir en y plongeant,
ce jourd'hui, en pays mien,
pour fêter la musique.

Tant et si bien que dissone et ne donne que boiterie. (et mirlitonnerie)