Ce jourd'hui, en pays mien,
et dans d'autres, me dit-on,
avions droit de lancer sons
pour fêter la musique
Sans violons, sans sitars,
choeurs passionnés, justes ou non,
j'ai laissé la gloire au vent,
ce jourd'hui, en pays mien.
Me plaisent simples chansons,
grégorien, ventre en jazz,
mais trop maussade j'étais
pour aller en compagnie.
Brute suis, n'avais désir
de m'éjouir en y plongeant,
ce jourd'hui, en pays mien,
pour fêter la musique.
Tant et si bien que dissone et ne donne que boiterie. (et mirlitonnerie)