M’en suis allée acheter un étui solide pour la feuille déjà froissée sur laquelle avait été tirée ma carte du off (ne céderai pas et n’achèterai pas un smartphone quitte à me compliquer un peu plus la vue), faire tirer mon billet pour le théâtre des Halles demain matin sur une feuille qui a rejoint la précédente au prix d’un pliage baroque) et découvrir où se déroulait la parade du off (ai appris en buvant une délicieuse orange pressée au Café Baretta que cela débutait place Pie)
Petite parade et petite foule mais bonne ambiance joyeuse et légèrement électrique (et il y avait plus de spectateurs que sur mes photos, me suis bien débrouillée pour cela au moins parce que leur qualité… euh… et j’en ai jeté)
Et puis ce soir fureur contre les fantaisies du Mac qui m’avait déjà supprimé l’accès aux photos enregistrées.. ce à quoi j’avais pallié depuis cinq ans en ouvrant un dossier « image 2 » qui vient d’être envoyé au néant… ouvert et inauguré derechef un « image 3 » (mais devrai pour toutes les autres me souvenir de la date de la photo cherchée pour la retrouver sur Photo) et comme je galèrais pour retrouver les photos (je finis par me dire que je rêvais des anciennes parades et les embellisses) ni surtout un texte décrivant la folie de la première des parades hors avenue de la République que j’avais écrit avec un peu d’exagération et un très grand plaisir pour l’atelier de François Bon… me suis mise en grève à part un passage bref pour suivre ce que je trouvais mis en ligne par amis et me suis réfugiée dans l’écoute sur France Culture des 16 leçons retrouvées de Deleuze