Une nuit où se mêlaient des pauses ensommeillées, mes remords sans savoir précisément de quoi parmi tous les possibles, l’arrivée des équipements et l’obligation pour répondre aux insistances de conquérir le droit à une « aide à domicile » ainsi que le soulagement de découvrir que mon blanchisseur/teinturier était désormais ouvert tous les matins sauf le dimanche et le lundi… avant une arrivée d’un sommeil béat de cinq heures environ à un peu plus de huit heures. Lavage de cheveux, petit déjeuner, vaisselle, lessive, opérations qui dans l’état actuel demandent organisation et réflexion (sourire)
Un déjeuner absorbé lentement en lisant des brides de revues économiques ou sociales, et un dépard vers seize heures pour des courses alimentaires (grossir c’est tout un travail surtout sans véritablement grandes forces, même si la rampe posée en mon honneur arrange très nettement les choses, et sans réfrigérateur |j’apprends ce soir qu’il devrait arriver mardi)… vous savez tout ou presque.




















































