L'un des macarons de l'hôtel de Crillon, en voyant le tableau proposé, a manifesté sa désapprobation.
Les deux autres, rencontrés sur mon chemin rue de la Petite Fusterie, sont restés plus indifférents, légèrement amusés par ma perplexité.
J'aime cette rue, sa tranquillité droite, et ses maisons ou hôtels tranquillement classiques, construits bien après la période où le quartier était celui où l'on récupérait et traitait les trains de bois flottants, lorsque ma rue, juste en dessous était du limon - bien après même que le duc d'Epernon y ait organisé une course de bagues.
et, marchant dans cette rue, il m'arrive de sortir de mes rêves hébétés et de saluer ces sourires ou cette attention qui se penchent vers nous - et la rue étant toujours presque déserte, je peux marcher le nez en l'air - juste les inégalités du trottoir..
2 commentaires:
Elles sont magnifiques ces photos...
je marche souvent le nez à l'air à admirer les détails des maisons, le ciel changeant...
Enregistrer un commentaire