Je m'y étais préparée, mais je n'ai pu aller voir Nell et Nagg dans leurs poubelles, et je suis donc restée dans ma tasse de café (pardon à la douce qui m'a dédié ce collage pour l'avoir ainsi massacré).

Contempler le vide, m'agacer d'une défense d'Heidegger (peut-être à tort), m'endormir, faire mon repassage mais pas les cuivres, regarder le temps.

Et jubiler avec Cosi fan tute dirigé par Eliott Gardiner, sous prétexte d'essayer d'apprendre l'italien.
Et j'ai vu qu'au Téatro del Cestello de Firenze on donnait Bienvenuti in Casa Gori, dont je ne sais absolument rien, que le Père Noël dont il faut reconstituer l'image à Sant Ambrogio se dit Babbo Natale, que la température à Rome lundi devrait varier entre 8 et 17 degrés, et passé le nez au Palazzo Doria dont j'ai gardé un souvenir mi amusé, mi émerveillé - vu aussi le lendemain du tsunami chez Céleste http://celestissima.blog.20minutes.fr/

Le vide est cependant une bel endroit pour planer, flâner et flotter s'il est "le vide" - on n'y peut tomber, s'enfoncer, descendre en tournoyant.