Marthe, bout de chou, je ne peux te voir mais je sais que tu es belle.
Je ne connais pas et ne peux imaginer la maison et le jardin où tu vas te montrer aux trois précédents diablotins aux mines d'ange.
Mais je sais qu'un jour, sûrement, dans des bras ou un couffin, ou comme tu le pourras, tu passeras dans cette rue.
Elle t'attend
en rupture totale : notre langue s'enrichit et le néologisme est très à la mode, après la bravitude nous avons droit à la séparabilité - je ne sais si nous y avons gagné.
12 commentaires:
Dur dur de laisser sa marque dans l'Histoire. Sans préjuger de résultats à venir, le mot au moins est inscrit dans le patrimoine...
Je te souhaite une belle journée et le plaisir de la visite et des sourires de Marthe au plus tôt.
Chère Maman Brig, ;)
Court et joli texte, je suis admiratif. En plus, chouette photo.
Tu me l'enverras cette Histoire ?? Merci !
Encore une bévue de Ségolène "la séparabilité" ?
Bises,
OLIVIER :)
En attendant Marthe, je cède comme chaque jour ou presque à la Brigetounitude.
très jolie petite note !
non la séparabilité c'est de la madame du MEDEF
Que Marthe profite longtemps de cette rue ombragée, des jeux innocents d'enfants purs loin de tous ces mots d'adultes! Bonne journée Brig...
La Madame du MEDEF "séparabitude"...
La séparabilité, la bravitude... Le baron avait donc raison sur l'adaptabilité ? (de notre langue...)
Votez pour Ségolène
http://www.voyages-en-poesie.com/article-5459873.html
trsè beau texte, et quel joli nom!
spero che marthe verrà presto a trovarti
Sans compter l'anglicisme de plus en plus dans les moeurs.
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