J’imagine qu’avec le soleil et l’avancement des travaux le futur conservatoire de musique, même sans la vie des éventuelles terrasses de restaurant et des passages entre la place Pie et les Carmes, présente un autre aspect.
Mais je l’aime bien ainsi, en harmonie avec mon impression d’un recommencement incessant, un peu gris, qui semble structuré, mais avec des ruptures de rythme. Plutôt beau de dépouillement, passablement rébarbatif – qu’il faut mériter, comme la vie, avant de découvrir si réellement il peut abriter des délices.
Bah ! La photo est vieille, le soleil brille, un oiseau a chanté, et l’homme a inventé l’espoir, et puis a réalisé que c’était une vraie arapède.
Mais je l’aime bien ainsi, en harmonie avec mon impression d’un recommencement incessant, un peu gris, qui semble structuré, mais avec des ruptures de rythme. Plutôt beau de dépouillement, passablement rébarbatif – qu’il faut mériter, comme la vie, avant de découvrir si réellement il peut abriter des délices.
Bah ! La photo est vieille, le soleil brille, un oiseau a chanté, et l’homme a inventé l’espoir, et puis a réalisé que c’était une vraie arapède.
9 commentaires:
l'espoir, moteur si puissant, pas vrai?
Très beau texte! A quand la fin des travaux? mes enfants sont devenus musiciens dans l'ancien Conservatoire, j'espère que le nouveau sera également une pépinière d'artistes! Bon dimanche.
espérons donc en l'Homme au moins ! bon dimanche Brig
Bon après-midi à toi Brigetoun.
Vous "faites" des commentaires sur d'autres blogs pour en avoir en retour! Pauvre...
Ben non, c'est pas pour avoir des commentaires, c'est parcequ'on est des amis et on aime les arapèdes :) Coucou Brigetoun je suis passé près de chez toi sans m'arrêter, honte!
oh il y a sans doute pas mal de ça, plus de l'indiscrétion - et l'amitié aussi pour d'autres - et qu'est ce qui a pu pousser à ce commentaire anonyme ?
Suis aussi passé pas loin, mais sur l'autoroute sans crochet. Je cours ouvrir un dico pour l'arapède... Chic, je vais découvrir un nouveau mot !
Je ne supporte pas que l'on insulte une personne de la valeur de Brigetoun sans même avoir l'honnêteté d'indiquer son identité. Quelle couardise, on retrouve l'ignominie des corbeaux et autres délateurs qui ont tant occupé les régimes les plus ignobles (dont Vichy).
Eh bien, quand on a une critique à formuler, l'on se signale, l'on donne son identité et une chance de réponse.
si l'anonyme de service savait le caractère intelligent et constructif des interventions de notre amie qui nous accueille ici, il aurait honte.
Le conservatoire sera très beau, je n'en doute pas.
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