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désolée, Paumée se veut à l'abri, sauf quand un acte fait déborder le vase, des allusions à la politique ambiante.. et si je suis reconnaissante aux envies de commenter je vous demande de me pardonner de rétablir la modération

dimanche, août 26, 2007

Sous un symbole d’arcades,
à l’antiquité factice,
je regardais une beauté
enviée, inaccessible.
Censure morale.


J’ai franchi l’ouverture,
voulant pénétrer ce monde
rongé par la lumière.
Souvenir du cœur de l’été.
Corps rêvés, alanguis,
ou avachis,
devant un simulacre
de corrida,
sans taureau, ni sang, ni flonfon.
Illusion du sacré gommée,
rite sans cruauté,
rendu à sa puérilité.

8 commentaires:

Olivier Bonnet a dit…

Salut Bridgetoun ! Moi, c'est sortie en voilier aujourd'hui. RV à midi sur le vieux port et pique-nique à bord. Il fait un temps superbe.
Bises.

Rosie a dit…

Quelles belles photos et les textes les accompagnant sont superbes.

Bon dimanche ma belle.

Bisous de ta p'tite cousine du Québec.

Anonyme a dit…

J'aime beaucoup le "simulacre de corrida, sans taureau, ni sang, ni flonflon" et la fin de ton texte.
Merci
Kiki

Anonyme a dit…

Bravo pour ce poème et tes photos !
Où est la photo des "corps rêvés" ? ;)
Un beau dimanche !
Olivier qui n'ose plus...

marie.l a dit…

images sereines pour un texte très poétique. Beau dimanche Brig !

Anonyme a dit…

superbe!
j'aime beaucoup moi aussi le simulacre de corrida

namaste

tanette a dit…

"Simulacre de corrida sans taureau ni sang" me plaît davantage que les vraies. Bonne fin de journée (elle a été très chaude ici.)

Muse a dit…

Tes arcades sont magnifiques de calme et de douceur de vivre, dans un été qui se refuse à mourir...Bonne soirée Brig