La voix du vent descend en courbe, de grandes ailes battent et rassemblent on ne sait quoi, inlassablement, un rideau immense et à la réalité improbable se déploie, et puis la roue de la poulie grince, un volet claque encore une fois, et cela recommence.
9 commentaires:
il est sûr que d'avoir des arbres chez soi est une bénédiction en presque toutes saisons, mais quand l'automne arrive ! hummmmm ! chez moi il n'y a que des persistants, le charme n'est pas le même, mais hé hé ...
Bonne journée Brig !
Le ramassage des feuilles ça me connaît, j'en ai déjà rempli 32 sacs et je n'ai pas fini mais le temps gris ne donne guère envie de sortir en ce moment. Et pourtant elle est tellement belle la chanson des feuilles mortes.. des souvenirs et des regrets aussi...
Chère briguetoun,
C’est par hasard que je te retrouve. C’est sans hésiter que je t’ai reconnue …mélancolique, gaie et bavarde.
Quel plaisir de voir également que ton enthousiasme pour ta passion est toujours intacte…
La rue Mathis et le quai d’Anjou paressent bien loin pour moi.
Bises à toi et à Vincent
Brunhild
Mais qui a été capable de faire une faute aussi énorme ?
et me voilà partie à chantonner du Montand...Pour le ramassage des feuilles j'attendrai la chute des feuilles du figuier...
et dire qu'il n'y a pas que les feuilles qui se ramassent à la pelle...
ben non il y a aussi les gens, dont moi hier soir (sans mal), d(où pas d'italien, mais je suis comme les cantonniers, faut que j'évite que l'évacuation d'eau se bouche
Si au moins elles se ramassaient que le 18 juin.............à la pelle !
Les feuilles mortes : quand j'étais gamin et que je devais ramasser les feuilles dans le parc de mes parents, je râlais contre Prévert, qui disait qu'elles se ramassaient à la pelle... Non monsieur, lui répondais-je, c'est au rateau, parce qu'avec une pelle, c'est vraiment trop compliqué...
Depuis que j'habite en ville, plus de feuilles mortes, mais toujours la chanson dans la tête.
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